1. Examen et Luxure


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... arrière alors que je sens sa langue venir doucement titiller mon gland. Je prends pleinement conscience des événements de la veille et de ce matin. J'ai vraiment couché avec Anne. Mieux encore, je l'ai baisée ! J'en suis à ce stade dans mes réflexions quand je suis interrompu par mes propres gémissements. En baissant les yeux, j'aperçois le visage d'ange de la belle blonde collé contre mon pubis, ma queue totalement engloutie par sa bouche. Par réflexe, je pose mes mains sur son crâne et commence à lentement onduler du bassin, le projetant vers l'avant en m'efforçant de ne pas y aller trop fort, histoire de ne pas lui blesser la mâchoire. Mais Anne a d'autres plans : à son tour, elle projette son propre visage contre mon bas-ventre, mouvant sa tête d'avant en arrière à un rythme soutenu qui m'encourage à accélérer également mes mouvements de bassin. Je sens rapidement l'orgasme arriver : comme quoi, la gueule d'ange cache une diablesse bien talentueuse...Je la préviens de ma jouissance imminente. Elle s'interrompt alors et, tout en continuant de ma branler à deux mains, elle me sourit d'un air coquin et susurre : « Il faudrait pas que les femmes de ménage aient à nettoyer les traces de ton passage, pas vrai.. ? » Je ne saisis pas tout de suite ce qu'elle insinue. Elle en profite pour me reprendre en bouche et me pomper à nouveau, reprenant ses vigoureux va-et-vient, me conduisant à l'extrême limite de l'orgasme. J'ai simplement le temps de gémir avant d'inonder sa bouche ...
    ... pendant ce qui me semble être une éternité de luxure : elle avale docilement, puis lève les yeux vers moi pour m'adresser un clin d’œil. Étourdi par ma jouissance, le regard trouble, je mets un certain temps à retrouver une vue nette. Encore plongé dans une délicieuse apathie, je la regarde se redresser et se passer de l'eau sur le visage, avant de venir m'embrasser pour la première fois de la journée. Je lui rends son baiser du mieux possible considérant mon état et l'entends soudain murmurer près de mon oreille : « Dommage, on peut pas se permettre de traîner plus longtemps par ici... Mais ne t'en fais pas, j'ai des projets pour toi. Tu verras bientôt... » Elle s'éloigne lentement, à reculons, me fixant sans ciller, toujours le même sourire narquois sur les lèvres. Quand elle se retourne pour déverrouiller la porte et sortir des toilettes, je suis persuadé qu'elle roule exprès ses hanches et ses fesses à mon intention. Je tarde encore dix bonnes minutes à me remettre de mes émotions. Je consulte mon portable : merde ! J'ai perdu une bonne demie-heure avec tout ça ! Je me dépêche de revenir dans la salle. Heureusement, personne n'a remarqué ma longue absence ; ils sont trop concentrés sur l'épreuve. Épreuve qu'il me faut d'ailleurs terminer... Je me rassois à ma place et remarque mon blanco, sorti de ma trousse où je l'avais rangé après qu'Anne me l'ait rendu. Je le prends entre mes doigts et constate qu'un bout de papier est enroulé tout autour. Je lis : « Quatorze heures, bar ...