1. Année de terminale (34)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    J’ai commencé à me maquiller quelques stations avant l’arrivée. Je ne voulais pas qu’on me voit trop peinturlurée au cas où il y avait du monde. Mais, nous n’étions qu’une demi-douzaine. Je vérifie au passage que mon manteau cache bien ma tenue. Il descend jusqu’à mes bottes, personnes ne peut voir mes bas résilles, mon porte-jarretelles et mon soutien-gorge ouvert. Le seul vêtement supplémentaire que j’ai est mon ras du cou. Je descends du bus, la grille de la cours est ouverte. Je passe, vais d’un pas décidé au bâtiment où se situe la bibliothèque. La porte est fermée, je n’ai pas le temps d’essayer de l’ouvrir que quelqu’un de l’intérieur le fit. C’était le surveillant général. Il me fait signe de rentrer, me conduit jusqu’à la porte de la bibliothèque et me dit • Ils t’attendent. • Il y a qui ? • Tu verras bien. Laisse ton manteau là. Je l’ouvre, l’enlève et le pose sur le crochet qu’il m’a indiquée. Il me regarde de la tête aux pieds d’un air satisfait et dit • Ils vont être contents. • Vous ne venez pas ? • Non, j’ai des choses à faire. Amuse-toi bien. J’ouvre la porte et entre. Je mets deux secondes à réaliser ce qu’il se passe. Entre temps, la porte s’est refermée derrière moi et a été verrouillée. Je ne peux plus sortir. Mon professeur principal n’est pas là, ni personne d’autre que je connais. Il y a là, quatre hommes qui sont entrain de faire des travaux... Et un cinquième qui sort de derrière une étagère. La peur m’envahie, je suis tétanisée. Ils me regardent, ...
    ... rient en parlant entre eux. Je ne comprends rien à ce qu’ils disent, ils ne sont pas français. Ca semble être une langue des pays de l’est. Je mets mes bras devant la poitrine. L’un d’eux s’approche, prend un air rassurant, ça ne marche pas trop, et me parle doucement sans que je comprenne quoi que se soit. Il est grand et très baraqué, comme les quatre autres d’ailleurs. Il me prend la main et m’attire vers le milieu de la pièce. Je me laisse faire, je n’ai pas le choix. J’ai trop peur et mon corps doit leur renvoyer tous les signes comme quoi je suis excitée. Il me caresse doucement le visage, la gorge. Je baisse la tête, je ne veux pas qu’il croit que je suis consentante. Mais, avec un doigt sous mon menton, il m’oblige à le regarder, puis m’embrasse et rentre sa langue entre mes lèvres. Une main se pose sur mes fesses, une autre s’ajoute à la première, et une suivante... Je regarde, on me les pince, me les tapote, ils tâtent la marchandise. Ils font de même avec mes cuisses et ma poitrine. J’ai toujours très peur, mais l’excitation est bien là aussi. J’aimerai comprendre ce qu’ils disent. Je crois juste que je leur conviens. Et l’un d’eux me fit • Toi, combien ? • Combien ? Je ne comprends pas. • Euros, combien ? Ils me prennent pour une pute, je n’en reviens pas et timidement, je réponds • Rien… Zéro euros. Je ne suis pas une prostituée. • Haaaa. Toi, coquine. Moi aimer. Et l’un d’eux me soulève par derrière comme si je n’étais qu’une plume. Il me colle à lui et passe ses ...
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