1. Une dette d'honneur chèrement payée (1)


    Datte: 11/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... "professionnelle" comme vous dites mais je ne suis pas non plus une gourde ni une sainte nitouche. Quatre, c’est vrai, je n’ai jamais fait mais deux, ça oui, souvent et j’aime bien ! — T’as déja baisé avec deux mecs ? M’insurgeais-je. — Ta gueule ! Fut la seule réponse que j’ai obtenu de sa part. — Bon ! On y va les gars. N’oubliez pas de vous occuper ce celui-là. Le "celui-là" en question s’est vu prendre par les bras par Greg et Chris, certainement les deux plus costaud des quatre. Dire que je marchais serait exagéré tant les deux qui m’avaient empoigné me menaient manu militari vers la chambre, suivant Sophie qui ouvrait la marche précédant Antoine et Jeannot qui se donnaient des coups de coude en matant le petit cul de Sophie qui ondulait devant eux. Ils se voyaient déjà dedant, j’en mettrai ma main au feu ! Qu’est-ce qui m’a pris le jour où j’ai choisi ce lit doré et argenté avec des barreaux à la tête et au pied. Un meuble en bois n’aurait pas permis de faire que j’y sois attaché comme Sophie leur en donna l’idée. Mieux encore. Elle s’est accroupie devant la commode et a sorti du dernier tiroir un tas de vieux collants. — Tenez ! Je crois que ça devrait faire l’affaire. Dit-elle en les jetant sur le lit. En l’attachant là devant, il sera au plus près de l’action. Toujours fermement maintenu par mes deux cerbères, Antoine et Jeannot se sont chargés de me ligoter sur la partie transversale du pied de lit en m’ayant préalablement déshabillé entièrement. Ils ont fait ...
    ... passer ma tête sous la barre. Un collant noué autour du cou m’empêchait de baisser la tête. Si je ne voulais rien voir je n’avais d’autre solution que de fermer les yeux quant aux sons, là, je n’avais d’autre option que de tout entendre. Le lit faisant 180 de large mes mains arrivaient juste jusqu’au pomeau en haut des montants verticaux. C’est autour d’eux qu’ils ont noué les collants m’interdisant le moindre petit mouvement de mes épaules. La seule position acceptable pour ne pas me briser le dos était de demeurer sur les genoux. Toine est venu se pencher au-dessus de moi. —putain, mec ! T’es aux premières loges ! Dommage que tu n’aies pas une main de libre pour te branler. Je ne voudrai pas être à ta place. Tu va avoir sacrément mal à la bite à force de bander sans jouir. Cinq heures comme ça ! Bon courage ! Chris est déjà nu. Greg jete son froc sur une chaise. Il bande déjà, le salaud. Sophie, à genoux sur le lit tourne le dos à Antoine. — Tu m’aides ? Il aurait pu tout simplement faire sauter l’agrafe pour libérer Sophie de son soutif mais il a préféré entourer ses bras autour d’elle, lui prendre les seins à pleine main en soulevant le rempard ridiculement innéficace devant sa volonté de la désnuder. Le sous-vêtement s’est de lui-même décroché restant suspendu un moment par les bretelles puis a disparu quand Sophie s’est retournée. Antoine lui a prit la bouche sans cesser de la peloter. Ma petite chérie a passé ses bras autour de son coup et l’a suivi dans sa chute quand il ...
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