Surprenante rencontre
Datte: 11/01/2020,
Catégories:
ff,
jeunes,
inconnu,
fépilée,
voiture,
autostop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ecriv_f,
... Élodie commença à déboutonner sa robe, c’était le genre de robe légère toute boutonnée sur le devant. Lorsqu’elle eut défait les boutons de la poitrine, je m’aperçus qu’elle n’avait pas de soutif ; « petite coquine », me dis-je en mon for intérieur. Enfin, elle se défit de la robe et c’est à ce moment-là que je me suis rendu compte qu’elle ne portait pas de culotte non plus. — Ça ne te choque pas ? me demanda-t-elle. On est toutes faites pareilles, me rappela-t-elle. Nous avons éclaté de rire. — Ok, autant pour moi, je ne m’attendais pas à ça ? dus-je avouer. Et, vous sortez souvent sans culotte, Mademoiselle ? dis-je sur le ton d’un chef d’école.— Tout le temps, Madame, me répondit-elle avec une voix de petite fille. Non, trêve de plaisanteries, c’est vrai, je le fais assez souvent, je trouve ça super agréable et excitant aussi.— Ah ? fis-je, un peu estomaquée qu’elle me fasse tant de confidences alors que nous nous connaissions à peine. Élodie était plutôt jolie fille dans son genre. Elle était très fine, fin poignet, cheville fine, des épaules bien carrées et de magnifiques petits pieds. Manifestement, elle était adepte du nudisme, car je ne lui voyais aucune trace de maillot et, détail croustillant, elle se rasait la chatte, pas un poil ne venait masquer ses jolies lèvres du bas, une belle fente bien nette. Le seul truc qui lui manquait, c’était les seins, ils étaient tout petits, mais, ma foi, assez mignons. Son copain devait être globalement assez content avec elle. — ...
... T’as jamais essayé, toi ?— De sortir sans culotte ? Si, une fois, mais j’étais pas à l’aise, j’ai pas trop aimé.— Oh là là, la vieille fille ! Moi, ça me rend folle, le vent qui s’engouffre sous la jupe, le danger aussi ça fait partie du jeu, il faut faire attention à tout, les escaliers, les endroits où tu t’assois. La pluie s’était arrêtée aussi brutalement qu’elle avait commencé. Je continuais à rouler tranquillement tandis que notre conversation dérivait de plus en plus. La jauge d’essence venait de s’allumer, heureusement il y avait une station à quelques kilomètres. — Je vais devoir m’arrêter pour reprendre du jus, tu devrais mettre mon manteau, il est sur la plage arrière. Élodie s’exécuta et, à genoux sur le fauteuil, se tortilla pour essayer d’attraper mon manteau : j’avais son postérieur juste sous le nez, elle avait vraiment un très joli petit cul, je me trouvais personnellement pas trop mal de ce côté-là, mais il faut savoir reconnaître son maître. Elle finit par y arriver et, en se contorsionnant, l’enfila à même la peau, juste au moment où je rentrais dans la station. Je sortis de la voiture et commençai à faire le plein. À ma grande surprise, Élodie sortit à son tour. Je pris soudain peur : qu’est ce qu’elle allait inventer ? Vêtue seulement de mon manteau trois-quarts et de ses sandales, elle s’approcha de moi. — Tu veux ton manteau ? Tu vas attraper froid ! me dit-elle, parlant très fort, comme si elle voulait être entendue du type qui faisait aussi son plein ...