1. Ma douce aimée (1)


    Datte: 11/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... salope que je veux. Elle écarte ses fesses, son anus est encore béant de mon bras. Mes orteils pénètrent son cul. Elle me fixe, se mordillant sa lèvre inférieur. J’approche mon talon. Quelque va et vient plus tard, il disparait dans l’anus. Déjà presque vingt centimètre de ma jambe sont en elle. Elle me pousse à m’enfoncer davantage. Je peux prendre une bougie, une grosse. Je l’allume et la pose sur le sol. Mon pied s’enfonce irrémédiablement en elle. Trente centimètres, puis trente-cinq. Elle me dit qu’il y a encore de la place que je peux y aller. À trente-huit, nous aurons battu notre précédent record. Je prends la bougie, coule la cire sur son pubis glabre. Elle gémit, glousse encore. Trente-huit centimètre, on approche doucement de ce record. Quarante, on y est et ma douce jouit encore pendant que la cire s’écoule goutte à goutte sur ses cuisses, ses fesses. Quarante-deux, record battu. Encore quelque centimètre, mais là, ça coince, j’ai le mollet épais. Il faudrait une fine jambe de femme pour aller plus loin. Je vais et viens, la cire coule encore. Je remue ...
    ... mes orteils en elle, je vois son ventre remuer sous l’action de mon pied. Aline explose encore, cela la dévaste. Ses mains frappent le sol, sa bouche hurle que c’est bon. Lentement, je retire mon pied. Lentement, je me couche contre mon Aline. — Je devrais t’enfermer dans le réduit, ne plus te laisser retrouver ton mari. — Tu le pourras bientôt. Je t’en fais serment oh mon Maître. Sur sa poitrine, je coule encore de la cire. Notre rendez-vous touche à sa fin. Il est temps pour elle de remplir son journal de soumise. Après une longue douche, je la couche sur le sol et nous nous aimons avec passion. Elle presque quarante ans, j’en ai tout autant. Un jour viendra où elle sera entièrement à moi. J’attends ce jour depuis qu’elle est mariée à mon crétin de cousin. Quoi qu’à quelque part, elle est déjà à moi depuis notre première nuit d’ivresse amoureuse, le soir même de ses noces, devant son mari endormi, complètement saoul. Oui, même si c’est moi qui couche avec cette femme, je suis jaloux de son mari, mon cousin, cet imbécile qui ne sait pas ce qu’il a épousé. nwinttg 
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