1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°826)


    Datte: 12/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... totalement. Et le trajet dura, comme l’avait-il annoncé, un bon trois quart d’heures ! Régulièrement, une main inquisitrice se glissait sur ma jambe gauche, remontait vers mon entrejambes et me forçait à bien écarter les cuisses par de petites claques. Puis cette main me caressait du bout des doigts mes lèvres intimes me provoquant des frissons tout le long de mon échine, surtout quand Il me doigtait franchement la chatte, triturant au passage mon clito si réceptif à ce genre de savoureux traitement. Mon bas-ventre en était véritablement excité, ce qui n’échappait pas au Maître : - Humm, j’aurai peut-être du prévoir une serviette pour que tu ne fasses pas de tâches sur le cuir du fauteuil ! dit-il d’une voix froide. Je me sentais mal ! Je ne pouvais contrôler mes sécrétions vaginales dues à mon excitation, et au ressenti de Ses attouchements, je ne pouvais pas ne pas être excitée ! J’essayais de contracter tous mes muscles pour couler le moins possible, mais Il s’acharnait délicieusement par Ses doigts inquisiteurs via son doigtage profond et lent, ne me facilitant ainsi pas la tâche à essayer de peu couler ! Je n’avais pas le droit de le regarder, d’ailleurs je ne le pouvais pas avec le bandeau, mais j’étais sûre qu’Il avait un air plus que satisfait ! … De temps en temps, Il retirait Ses doigts pour me faire lécher ma cyprine déposée sur sa main. Ainsi je passai ma langue telle une bonne chienne entre chacun de Ses doigts. Il en profitait aussi pour invertir ma bouche avec ...
    ... deux de Ses doigts en les faisant aller et venir. Puis Sa main se redirigeant vers mon sexe trempé, Il recommença sa pénétration de Ses doigts dans ma chatte puis de nouveau dans ma bouche plusieurs et maintes fois… Je commençais à gémir de plus en plus de plaisirs… Lorsque le moteur stoppa, je sentis très vite un baiser très doux, très sensuel, se poser délicatement sur ma bouche. Cela me faisait penser à un encouragement. Une douce caresse de Sa part sur mes joues marqua une tendresse appréciée. Aucun mot ne fut prononcé, ce qui m’inquiéta encore plus. Le Châtelain me conduisit, le cul toujours plugué, le shorty remonté, toujours les yeux bandés à l’intérieur de ce que je supposais être un restaurant, puisque nous devions aller déjeuner. Une fois entrés à l’intérieur, au lieu de m’enlever le bandeau, Il me dirigea à travers ce qui me sembla être une grande salle au bruit que faisait la clientèle qui semblait être nombreuse. Une fois qu’Il m’eut installé sur une chaise, il m’ôta le bandeau. Je découvris un lieu que je ne connaissais pas, dans une lumière un peu tamisée qui donnait une ambiance intime au lieu. A première vue, rien ne m’interpella. Je ne voyais pas en quoi consistait la surprise du Maître et à quoi avait servi le bandeau. Monsieur le Marquis s’était assis en face de moi. Nous étions tous les deux de profil par rapport au reste de la pièce. Un homme vint à nous, sûrement le patron de l’établissement. - Monsieur le Marquis, vous voici de retour ! C’est toujours ...