La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°819)
Datte: 12/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... excité lui réclamait car il voulait profiter aussi du spectacle que le reste de l’assemblée allait lui fournir. Et les choses n’avaient pas tardé à vite tomber dans l’orgie la plus torride puisque la consigne de la soirée était une jouissance massive et autorisée à volonté, ce qui était rarement le cas lorsqu’il y avait des soirées organisées au Château en faveur d’Invités de marque, dont il fallait en tout premier lieu assurer le confort et le bon plaisir pervers, et non songer à celui des esclaves MDE qui étaient là en tout premier lieu pour faire honneur au Maître et à Son éducation. Le Châtelain ordonna aux deux chiennes à Ses pieds de sucer les queues de leurs frères de soumission pour les faire gonfler et durcir au maximum, mais sans atteindre le point de jouissance, fut-elle autorisée, car c’était avec l’obligation par la suite pour les deux chiens d’enculer les deux soumises prises en levrette jusqu’à ce qu’ils puissent se déverser une première fois dans leurs fondements respectifs. Le Marquis regardait parallèlement les autres tandems dans la salle qui copulaient dans toutes les positions possibles, on aurait presque pu imaginer qu’il s’agissait d’un « dictionnaire » du Kamasutra vivant qu’il s’agissait d’illustrer, tant certains avaient fait preuve d’une imagination débridée pour des pénétrations buccales, vaginales ou anales, dans tous les sens, avec des jambes en l’air, à terre, pliées, tendues, mais toujours écartées, et des mains qui ne cessaient de ...
... caresser, de masturber, de branler. Les langues se faisaient agiles et sources de plaisirs pour des baisers langoureux ou des léchages savants, sauf quand les bouches étaient prises d’office par des queues en recherche d’orifice buccaux à forcer, pénétrer, pilonner et emplir de foutre. Le Maître des Lieux se régalaient d’entendre les râles de plaisirs jouissifs qui emplissaient la pièce, car IL savait que chacun et chacune se souviendrait longtemps de cette soirée lubrique et telle était sa volonté la plus chère pour fêter son départ dans une gaieté qui n’avait d’égale que les anciennes bacchanales, à l’exception près que le vin ne coulait pas à flot, même si on se trouvait en plein pays du Beaujolais. A peine les deux chiens eurent-ils fini d’enculer les deux chiennes pour les remplir de foutre que le Marquis ordonna aux femelles de venir leur sucer à nouveau la queue pour redonner sans tarder de la vigueur à ces nouilles déjà recroquevillées. Le Marquis d’Evans entreprit d’ouvrir son pantalon et de baisser son boxer, tandis que les femelles s’étaient glissée dos contre terre sous les mâles encore positionnés à genoux. Le Châtelain pris possession des culs de Ses deux esclaves-mâles l’un après l’autre. Son dard déjà bien gonflé n’avait pas besoin de préparation tant les plaisirs intellectuels de ce début de soirée l’avait maintenu en état d’excitation permanent. IL encula avec une fougue bestiale les deux rondelles qui se dilatèrent sans grande difficulté, chaque chien-esclave se ...