1. Henri, l'exposition de peintures (2)


    Datte: 12/01/2020, Catégories: Hétéro

    ... ma main sur la sienne qui entoure sa poutre, il la retire pour laisser seule ma main sur son mandrin. Je croise son regard plein de tendresse. D’une main je presse les couilles obèses et de l’autre j’astique la hampe veineuse, il glisse ses doigts dans ma chatte et demande. — Je peux ? D’un signe de tête je lui donne mon assentiment, à genoux, la langue sortie il avance vers la vulve suintante de mouille. Le gland de sa lourde queue traine sur le sol. Je gémis, mon amant explore le vagin de ses doigts et de sa langue, des bruits de clapotis et de sucions résonnent, une douce odeur de stupre monte. Ainsi branlée je sais que je ne vais pas tarder à jouir à nouveau. — Chériiiiiii, aaaahhh, je vais jouirrrrrrrrrrrrrrrrrrr haaaaa! Tu me fais trop de biennnnnnnnnnn !!! Il retire son visage luisant de mouille, ses doigts toujours fichés dans mon sexe béant. — Tu as une chatte délicieuse, j’aimerais bien la remplir à nouveau. Si on m’avait dit il y a deux heures, que j’allais connaître des jouissances à répétitions avec un tel étalon ! — Je vais m’assoir sur le sol, vous allez venir vous empaler sur ma queue. Sans rien ajouter je me penche la main refermée sur l’énorme bite, sa queue est toujours aussi raide. Je me hisse vers ce pic les jambes de chaque coté de l’homme, attrape à nouveau le membre et le dirige vers ma matrice prête à avaler l’énorme engin. Les lèvres vaginales effleurent le gland, je râle dès les premiers centimètres entrés, la moitié de la hampe a disparue dans ...
    ... mon vagin déformé, mes doigts enserrent le membre qui coulisse lentement dans la gaine étroite. Le visage écrasé sur le buste d’Henri pour ne pas hurler je m’empale avec force, je sais que je ne peux pas prendre en totalité la queue dans mon vagin. L’homme donne de puissants coups de reins, je rebondis sur ses cuisses, on croirait que je fais du rodéo. — Que c’est boooooooooonnnnnn, hoooooo ouiiiiiiiiiiiiiii je vais juoiiiiiiiiiiiirrrr ! Les contractions de mon vagin ne trompent pas ni le jus qui coule sur ses couilles, je n’ai jamais jouis aussi fort, je suis dilatée a outrance, ayant perdu toutes notions de la réalité. Je suis ballotée, les seins secoués, le corps en transe, mes orgasmes se succèdent à un rythme infernal. Je suis pratiquement inconsciente lorsqu’il décharge dans mon vagin, je pousse un cri. — Tu me remplis, ce n’est pas croyable, mon ventre va éclater ! Mon dieu! Les sursauts de la queue se calment, je me retire de ce bouchon qui m’obstrue la moule, un torrent de crème blanchâtre s’échappe des lèvres distendues, mes poils ont disparus sous une couche de crème poisseuse. Il lui a fallu quand même quatre éjaculations avant que je ne vois enfin sa verge se mettre à débander, je comprends pourquoi il tourne dans des films pornos. Je peux enfin reprendre mon tableau. Il m’a fallu deux jours de plus que prévu pour finir ma toile, il faut dire que j’étais plus souvent en train de faire des galipettes sur ce pinceau extraordinaire que de me servir de mes pinceaux. ...