1. Une nuit sur l'autoroute du soleil (1)


    Datte: 13/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... abaissée, donnant encore plus de visibilité à l’homme et, j’espérais, la possibilité pour lui de m’accompagner dans les caresses. Il s’est plié légèrement, m’a dit bonjour et exprimé le souhait de pouvoir la toucher. Je n’attendais que ça ! Il a commencé sur ses seins, les palpant avec douceur. Ma coquine avait les yeux clos mais, appréciant la situation, passait langoureusement sa langue sur ses lèvres. J’ai retiré ma main de l’antre du diable et ai invité l’homme à y glisser la sienne. Il ne s’est pas fait prier, il l’a plongée entre les cuisses et deux doigts ont continué le "travail" que j’avais entamé. Ma coquine commençait à jouir et ne s’en cachait pas, elle haletait et ses petits cris révélaient son plaisir. Ils révélaient son plaisir, mais eurent également comme conséquence d’attirer l’attention sur nous. 2 hommes sont arrivés sans que je les aie remarqués auparavant. Ils n’ont pipé mots mais regardaient. Ma coquine les avait vu également, mais dans l’état où elle se trouvait elle n’en a eu cure. Quoique. Se voir regardée par ces 3 mecs pendant que 1 la masturbait l’avait rendue affamée, et elle a caresser le routier à l’endroit stratégique. Le type a cessé de la caresser et s’est empressé d’ouvrir son ...
    ... pantalon et sortir son sexe. Ma salope s’est redressée et a débuté une fellation, avide de bouffer de la queue. Quand le routier lui a donné sa semence et s’est retiré, elle a fait signe à un des autres qui est venu se faire vider à son tour. Même scénario, fellation totale avec dégustation de sperme. A son tour celui-ci s’est retiré et a rangé popol tandis que ma salope commençait sa troisième partie de plaisir buccal. Un moment donné elle a cessé et, tout en branlant le zig, m’a dit qu’elle voulait se faire mettre. Je lui ai répondu que non, que plus tard. (J’étais super excité et j’avais moi aussi envie de lui offrir mon chibre). Quand elle a eu terminé les gars sont partis et j’ai redémarré. Elle me regarda d’un air étonné et me dit qu’elle aurait bien voulu se faire baiser, qu’elle ne comprenait pas mon refus. Je lui ai simplement répondu d’attendre. Et, après une centaine de kilomètres, je me suis à nouveau arrêté sur un parking où j’ai cherché un coin tranquille et sombre. Et nous sommes allés à l’arrière où je l’ai, et me suis, apaisée en la baisant aussi furieusement qu’on sait le faire dans une voiture. Elle est restée ainsi, culotte et sexe remplis de foutre, jusqu’à notre arrivée à l’hôtel vers 15 heures. 
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