Première fois en trio - Histoires de Sexe

Première fois en trio

... frémissements de sa tige, qu’il n’est pas loin de rendre les armes. Ce qu’il confirme dans son langage toujours aussi poétique : — Ah, oui ! Oh ! Tu vas me faire juter ! Reprends ma bite, que j’explose dans ta bouche ! Hum… ! T’es trop bonne ! Tu vas voir la giclée que je vais t’offrir ! Oh ! Ah ! Oui ! Je viens ! Effectivement, elle sent sa queue agitée de soubresauts annonciateurs de son plaisir imminent. Un premier jet jaillit, puissant, suivi de quelques autres tout aussi abondants, elle doit faire un effort pour tout avaler. Elle se fait fort de ne pas en laisser échapper la moindre goutte. La source se tarit et le membre, lentement, perd de sa raideur. Elle le relâche et, avec une moue coquine, vient offrir un baiser à son amant. — Il y a longtemps qu’on ne m’avait pas sucé ainsi ! Tu es la meilleure. — Je n’ai pas eu à forcer mon talent, tu sais, je sais apprécier une belle queue ! Pendant qu’il reprend des forces, elle a encore soif de foutre et décide de s’occuper de moi ! Comme je m'y attendait, je me présente face à elle et elle s’empresse de m’avaler pour me donner à mon tour du plaisir. Après tout, si elle a pu goûter au sexe de Philippe c’est grâce à moi, je mérite une récompense. — Caresse-lui le cul aussi ! me dit notre ami. Allez Nathalie ! Doigte lui le cul ! Je me tourne, prend appui sur le canapé et me penche, offrant ma raie qu'elle caresse avant de s’attarder sur mon petit œillet sombre. Comme notre ami tout à l’heure, elle me masturbe doigtant mon petit ...

... trou. Je reçois cette caresse avec un plaisir non feint et, dans les mêmes termes que Philippe, lui fait savoir : — Vas-y doigte moi bien le cul ! Oui ma chérie… continue ! J’adore quand tu me fouilles le trou ! À croire que nous faisons un concours de poésie ce soir ! Après quelques minutes, je lui dis de reprendre mon sexe en bouche. Il est temps, elle n'a que le temps de le faire coulisser entre ses lèvres et, dans une longue plainte, je l’abreuve de mes jets de foutre. Elle me garde en bouche jusqu’à ce que je sois débandé, avalant sans rechigner cette seconde ration de sperme. Après cette petite séance, je sers une tournée et nous dégustons une nouvelle bouteille. Elle nous regarde visiblement ravie de la soirée et nous dit : — J’ai pris beaucoup de plaisir à vous sucer, mais ce n’est pas tout ça, j’aimerais bien, moi aussi avoir ma dose de plaisir ! Je lui dis : — Allonge-toi sur le canapé, Philippe va adorer te bouffer la chatte ! Philippe se penche pour enfin lui rouler une pelle tout en caressant ses seins et son ventre, cela suffit à a faire gémir. — Mais tu es chaude comme une braise ! Il lèche ses tétons, passe de l’un à l’autre, caresse celui que sa bouche a lâché. Ses tétons sont durs et pointés, son ventre se noue sous les caresses. Il poursuit en embrassant son nombril, son ventre, délaissant sa chatte, il poursuit ses baisers et ses caresses sur ses cuisses. — Salaud, viens me bouffer ma chatte ! Allez ! Vite, je n’en peux plus ! J’ai envie de ta langue dans ...