Ma fille, sa copine, mes rêves (2)
Datte: 13/01/2020,
Catégories:
Lesbienne
La nuit venue, je ne cessai de me demander si quelqu’un m’avait effectivement vue dans ma douche, si ce n’était pas une invention de mon esprit fatigué par le sport. Qui aurait donc pu m’observer ainsi? Soit ma fille...soit Lou. Car personne n’aurait pu me surprendre par hasard. J’en venais à me demander quelle éventualité je préférais : être épiée par ma fille ou sa copine?? Et puis en même temps, je repensai à ce que j’avais découvert : ma fille était lesbienne, et elle en était aux choses sérieuses vu le cuni que Lou lui avait prodigué...je me surprenais même à penser qu’elle avait l’air de savoir s’y prendre, la bougre...La vision de ses fesses blanches qui émergeaient du jean, de ses cheveux blonds plongés entre les cuisses de Gaëlle, toutes ces visions ne cessaient de m’assaillir, m’empêchaient de trouver le sommeil… Le souvenir de cette scène et la fatigue m’assaillaient conjointement ; je n’ai aucune autre excuse pour que ce que je fis après...je sentis mon bras se rapprocher de mon entrejambe, lentement, comme mû par une volonté propre, puis ma main caresser mon sexe épilé...je me souvins de mes folles nuits avec des camarades étudiantes qui m’avaient fait découvrir le sexe lesbien...puis mon esprit dériva vers ma fille et sa copine qui couchaient ensemble, qui goûtaient à leur tour à ce joli fruit défendu...plongée dans une fièvre rêveuse, je prenais la place de ma fille dans la scène que j’avais surprise hier. J’admirai le visage de Lou dévorant sous mes yeux mon ...
... entrejambe, et je finis par m’abandonner totalement dans cet état brumeux qui marque la frontière entre le rêve et la conscience...dans cet espace de liberté et de détachement qui me tendait les bras, je me retrouvai en train de poser mes lèvres sur celles, rouges et sucrées, de Lou... Je planais. Et en même temps, je découvris dans mon rêve une sensation terriblement douce, chaude ; mon corps se masturbait et était proche de l’orgasme, mais mon esprit avait atteint une émotion irréelle, planante...je ne sais si j’avais embrassé ces lèvres une seule fois, ou si mon esprit avait vécu milles baisers ; j’avais l’impression d’avoir connu durant un siècle cet état de désir mais que je l’avais vécu en une seule seconde. Le baiser venait de commencer, mais je connaissait déjà tous les détails, le goût merveilleux des lèvres qui m’avaient tentée ; mais la seule envie que j’avais étaient de continuer à fusionner ainsi, j’étais en manque… Je finis par sentir non plus une mais deux paires de lèvres dans notre baiser évanescent ; une autre personne s’était jointe à Lou et moi, je cherchai à prolonger ce moment de découverte...quand la lumière revint dans le monde imaginaire que j’avais rejoint, je vis l’image de Gaêlle qui réalisait l’impossible, en embrassant à la fois Lou et moi. Je mis quelques secondes à prendre conscience du trio que nous formions dans mon esprit. Je sursautait à la vue de ma fille, arrêtant mes caresses au bord de l’orgasme. je me demandais comment on pouvait être ...