Comment ma femme s'est dévergondée (2)
Datte: 25/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
En attendant le repas, je réfléchis à tout ce qu’il venait de se passer. Je venais de prendre dans les dents le fait que "j’avais une petite bite". Ce que je savais déjà, mais c’est un mec qui me l’avait dit. Brutalement. J’étais humilié. Pourtant je réfléchis et me dis qu’il disait sans doute vrai : ce n’est pas avec mon petit sexe que je devais donner beaucoup de plaisir à ma femme. En plus, il m’a donné un cours, appris à faire l’amour. Il est vrai aussi que je n’accordais pas beaucoup de temps aux préliminaires avec Sandra. Je pensais bêtement à mon propre plaisir avec ma "petite bite". Le repas arriva. J’avais du mal à manger. L’après-midi me revenait sans cesse en mémoire. En plus de l’humiliation quant à la petitesse de mon sexe, il m’avait humilié, fait déshabiller, pris en photo entièrement nu. Et je lui avais obéi. En gros, il avait dit qu’il allait me dominer. Moi, le mari, en couple, il allait me soumettre. Mais le pire est qu’il m’a annoncé que j’allais être cocu, et que j’allais devoir l’accepter ! Le fin du fin ! Moi "cocu" ! Et il fallait en plus que je sois "cocu-content", peut-être même que je remercie ceux qui allaient baiser ma femme, pendant que nous y étions ! Car c’était ça : d’autres mecs allaient baiser ma femme ! Tout ça sous prétexte que j’avais "une petite bite". Mais j’étais rassuré : jamais Sandra n’accepterait ça. Le soir, dans la chambre, je commençai à entreprendre Sandra, en faisant ce qu’il voulait. Je commençai les préliminaires, la ...
... caressant partout. Je m’attaquai à ses seins, ses tétons, longuement. Puis je descendis et me mis à lui lécher la chatte, encore plus longuement, jusqu’à l’entendre gémir et crier, jouir, sa mouille coulant dans ma bouche. Après, elle me suça, et je la pris en levrette. Excité, je n’attendis pas longtemps avant de jouir dans sa chatte trempée. — Eh bien dis donc, tu es en forme ce soir, que se passe-t-il ? Sandra alla se laver et s’endormit rapidement. Quant à moi, après la douche, je mis longtemps à m’endormir. Pensant encore à cette fichue après-midi et à tout ce qui s’était passé. En plus, j’avais mis en œuvre, dans l’intimité, ce que Daniel m’avait ordonné !! Le lendemain matin, tôt, je partis au travail, laissant Sandra endormie, elle cherchant un emploi. J’étais en train de rouler que je reçus un SMS, de Daniel. "Tu passeras me voir ce soir directement en rentrant de ton bureau, Daniel". Que voulait-il donc ? Décidément, il ne me "lâchait pas" ! La journée se passa tranquillement. Le soir, je fis ce qu’il me dit. Je rentrai la voiture dans le garage et sonnai chez Daniel. — Je t’ai dis de passer directement me voir, j’aimerais que tu comprennes ce que je te dis ! Je lui serrai la main sans répondre. Nous entrons dans la salle à manger-séjour. — Eh bien ? Qu’est-ce que tu attends pour te mettre à poil ? L’ordre claqua. Je ne bougeai pas. — Allez, A POIL ! La deuxième fois, je commençai à faire ce qu’il voulait. Au bout de cinq minutes, mes vêtements sur le fauteuil, j’étais ...