1. Des vacances bouillantes (7)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... nouveau. Ce salaud est aux anges, il a les joues rouges de plaisir. Il positionne ses mains autour de la tête de ma belle-mère et imprime un rythme bestial. Depuis la fenêtre, on peut entendre les clapotis de salive à chaque pénétration buccale. Satisfait de cette activité, Gérard relève Karine, puis lui enlève entièrement la nuisette. La salope, me dis-je, lorsque je m’aperçois qu’elle ne porte pas de culotte ou de string. Mon oncle affiche un énorme sourire en voyant ceci. Il se défait de son jogging qui lui encombre les chevilles, puis retourne la compagne de mon père. Il glisse la tête entre ses fesses, puis lui offre un cunnilingus. Avec ma cousine, nous voyons toute la scène. Karine se caresse les seins dans le même temps, puis sans prévenir, Gérard se relève. Le membre dressé comme jamais, il se frotte contre le sillon des fesses de sa partenaire, puis d’un coup de reins la pénètre. Elle pousse un petit cri de plaisir. Pour n’éveiller aucun soupçon, l’homme saisit un tissu et le met dans la bouche de cette dernière. A présent, il s’en donne à cœur joie. Il la défonce, le bas de son ventre bedonnant claque sur les fesses de Karine. Ne pouvant exprimer sa jouissance, la femme bave à travers le tissu. Les va-et-vient de mon oncle sont bestiaux, il ne lâche pas sa prise, les mains posées sur les hanches, il possède totalement ma belle-mère. Il finit par la retourner. L’assoie sur une botte de paille, lui écarte les jambes outrageusement, puis la prend dans une sorte de ...
    ... missionnaire. Une fois de plus, il n’est pas tendre, il donne tout ce qu’il a pour la satisfaire. Il profite de cette position pour lui dévorer la poitrine comme un mort de faim, il me semble même qu’il les mord. C’est pour cela que ma belle-mère pousse des cris stridents. Il continue sa besogne, puis remet ses fesses à l’air. Il enlève le tissu de la bouche de Karine qui a bien du mal à reprendre sa respiration. Elle enfourne de nouveau la bite de mon oncle. Nous sommes surpris de voir que la porte de la grange s’ouvre. Il s’agit de Mathieu le propriétaire des lieux. Qu’a pu dire mon oncle à ce monsieur qui, il y a encore quelque temps, estimait que ce genre de comportement n’était pas pardonnable. Lui aurait-il parlé de ce qui s’est passé cet après-midi ? La description, l’aurait-il fait vaciller ? Toujours est-il qu’il s’approche des deux amants à pas de loup. Voyant la scène qui se déroule sous ses yeux, et surtout les fesses de Karine l’homme fait tomber son pantalon et enlève son tee-shirt. Sa bite est d’une taille normale, il bande tout de même comme un âne. Il pose sa main sur le cul de ma belle-mère qui est totalement surprise. Elle se relève, s’interroge, mais Gérard appuie sur sa tête pour qu’elle continue de le sucer. C’est alors que Mathieu sort une phrase surprenante « après la femme le mari ». Mon oncle, ce salaud lui a avoué que Catherine avait eu un échange corporel avec Karine. Il serait donc ici pour se venger. Il continue de progresser dans sa manœuvre, ...