1. Mon banquier


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fhh, cocus, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, confession, couple+h,

    ... trouble contre sa cuisse, si proche qu’ils sont maintenant. Les yeux fermés, elle se laisse aller au lent mouvement de la danse, suivant la douce pression des mains dans son dos et sur sa hanche. Je suis surpris de sa participation à ce jeu, pas de réticence, pas de réaction de méfiance. Elle si prude, si timide, elle se laisse aller, les yeux fermés. Sur une nouvelle indication, Armand dépose de petits baisers, qui descendent progressivement de la tempe vers la joue, puis lentement vers le coin de la bouche de Mary. Dans un sursaut, elle ouvre les yeux, et me lance un regard suppliant. Elle semble me demander d’arrêter le jeu, qu’elle n’est pas sûre de tenir son rôle en bonne épouse, qu’elle ne répond de rien s’il continue. Enfin, elle me montre son trouble, c’est beau, mais j’ai envie d’en voir plus, de pousser le jeu plus loin. Ce n’est pas de mon côté que viendra le salut. Au contraire, je la regarde avec tendresse, lui sourit, et d’un petit mouvement de tête lui indique de poursuivre la scène, qu’elle est très belle et que je l’aime. Une sombre colère intérieure secoue Mary, très vite maîtrisée. Pourquoi résister puisque tout le monde est d’accord, nous verrons bien jusqu’où je veux qu’elle aille. Les baisers de son cavalier n’ont pas cessé de glisser vers sa bouche. Contact avec le coin des lèvres. Pas de réaction de Mary. Elle garde les yeux fermés. Au deuxième contact, ma femme tourne légèrement la tête pour mieux sentir les lèvres. Au troisième contact, elle ouvre ...
    ... les paupières et regarde son cavalier droit dans les yeux, pose ses lèvres contre sa bouche, écarte légèrement les lèvres. Armand, plonge son regard dans celui de Mary, sort un petit bout de langue et le pose contre sa bouche. Le zoom montre en gros plan cet instant de formidable émotion. Celui où tout peut basculer, où tout va basculer, où tout bascule. En gros plan dans le viseur, je vois les lèvres des deux bouches s’écarter, augmenter leur pression, s’écraser l’une contre l’autre, on devine les langues qui se cherchent, se trouvent, se goûtent, plongent dans l’autre comme pour le violer. Mon cœur bat à tout rompre, mon sexe gonfle à vue d’œil et me fait mal. Armand écrase maintenant sa cavalière contre lui. Elle, se pend à son cou. Elle ne veut pas le lâcher, submergée par un désir trop longtemps retenu. Le couple reste ainsi un long moment comme collé, seules leurs bouches sont actives. Puis les mains de l’homme commencent à glisser dans le dos de Mary, montant jusqu’à la nuque, puis redescendant jusqu’à ses fesses. Les doigts prennent sans ménagement, possession de ce corps qui enfin s’offre à lui. Ses mains courent partout dans son dos, sur ses hanches, descendant vers ses jambes, remontant vers ses fesses. Il devine, plutôt qu’il ne voit vraiment, mon geste dans la direction du canapé. Alors il soulève ma femme, toujours accrochée à son cou, et la porte comme une jeune mariée pour franchir la porte nuptiale, l’emmène et s’assoit sur le large canapé qui trône au milieu ...
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