1. Mon banquier


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fhh, cocus, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, confession, couple+h,

    ... l’équilibre. Elle se retrouve à moitié allongée, les cuisses écartées. Il plonge la bouche vers le sexe qu’il sait trouver là, juste sous la fine toison. Il y pose un baiser de braise, plantant sa langue dans ce nid dégoulinant et chaud, fouille entre les lèvres gonflées d’où un fort parfum de plaisir féminin se dégage et se délecte du liquide qu’il lape à grands coups de langue. Sous l’assaut, Mary se cambre, projetant en avant son bassin, comme pour mieux sentir la langue qui la fouille. Elle empaume ses seins, les presse l’un contre l’autre les doigts crispés dessus. Elle se déchaîne, libérée de tabous qui la paralysaient avant ce soir. Attrapant son cavalier par la chemise, elle lui fait comprendre qu’elle veut qu’il remonte près d’elle, recherche sa bouche pour regoûter sa salive au goût de son plaisir intime. Elle aventure une main vers le pantalon. Elle ne prend pas le soin de défaire la fermeture et glisse fébrilement ses doigts entre la chemise et le tissu. Ils entrent vite en contact avec le membre congestionné. Elle le saisit, le jauge, tire dessus avec violence, les mâchoires serrées, le branle lentement pour mieux le sentir vibrer sous ses doigts. C’est Armand qui parvient à défaire le vêtement et à faire glisser son slip. Il se redresse et approche son sexe près du visage ma femme. Elle le tient toujours, aussi naturellement, elle le guide vers sa bouche, le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur ses lèvres. Sa bouche s’entrouvre, sa langue sort et ...
    ... vient goûter le gland un long moment. Enfin, lui faisant franchir la barrière de ses lèvres, semble vouloir l’avaler et le mener au plus profond de sa gorge. On dirait qu’elle étanche une soif terrible, elle suce avec vigueur et délectation. Les yeux toujours fermés, entre douceur et frénésie, elle tète. Une main le long de la hampe faisant de lentsva-et-vient l’autre malaxant les testicules (en ce moment, elle dirait plutôt les couilles). Elle manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. La main d’Armand appuie sur sa tête pour pénétrer encore plus profond. On devine aux mouvements de la peau des joues, le sexe gonflé, glissant sur la langue, au chaud dans cette bouche accueillante. Je suis au comble de l’excitation. Mon sexe me fait mal, la gorge est sèche, mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine, l’œil rivé au viseur, je regarde ce sexe étranger dans la bouche de ma femme. Une légère bave s’échappe au coin de ses lèvres. Le couple commence à perler de sueur. — J’ai envie de te prendre, murmure Armand à l’oreille de Mary.— Oui, viens en moi, répond-elle. Elle s’allonge complètement sur le canapé et écarte les cuisses pour l’accueillir. Il vient sur elle, gardant appui sur ses bras et dirige son membre vers le sexe féminin. Mais, attrapant le sexe d’Armand, Mary le retient, arrête le mouvement, puis se tourne vers moi, l’œil toujours rivé à la caméra, elle me tend la main et me dit, me suppliant presque : — Chéri, tu veux bien qu’il me prenne ? Tu veux bien ...
«12...5678»