1. Dans ce rêve, c'est toi le chasseur et moi la proie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: fh, inconnu, Transexuels Oral hdanus,

    ... d’anticonformisme… Elle a aussi un petit je ne sais quoi d’atypique, et moi j’aime bien les physiques atypiques. Elle me rappelle un peu quelqu’un mais je ne sais pas trop qui …. En tout cas, l’image du canon inaccessible était complétement truquée. D’ailleurs elle jubile de savoir que son coup était à ce point réussi ! Finalement, on passe un très bon moment à discuter autour d’une bière puis d’une bouteille de vin, en regardant à travers la vitre du café les gens rentrer chez eux à la nuit tombée. Au fur et à mesure que la soirée passe, LA question pointe son nez. Comment enchainer ? Ça se passe bien, elle est vraiment trop belle et trop sympa. C’est clair : j’ai envie d’elle. Et à la limite pas que pour une nuit. Mais de son côté je ne sais pas … a priori elle a l’air de passer une bonne soirée, mais une nana pareille, je n’ose pas vraiment croire que je lui plaise, que je lui fasse envie, et encore moins qu’elle soit prête à baiser sur le champ avec moi… J’ai beau avoir compris qu’elle n’était pas le mannequin glacé que j’avais cru, elle est quand même vraiment canon, et de ce qu’elle me dit, elle ne manque pas de prétendants ! Je ne sais même pas quelle stratégie adopter… Conclure ce soir ou ne surtout pas essayer de conclure ce soir ? Si je tente et qu’elle n’est pas du tout dans cet état d’esprit je passe pour un obsédé, si je ne tente pas en espérant un autre rendez-vous je vais peut-être attendre toute ma vie ! Bordel je suis complétement perdu là ! Pourtant en ...
    ... général je maitrise parfaitement ce genre de rendez-vous, j’avais même l’impression d’être passé maitre en conclusion de rencards ! Mine de rien les verres se sont enchainés, je suis un peu saoul, et je crois lire dans ses yeux qu’elle aussi est enivrée. Les idées pas très claires, cela fait un moment que je suis moins à l’aise, presque silencieux, redoutant la suite du rendez-vous. Finalement, ma torpeur ne fait que précipiter le moment fatidique : l’addition, les manteaux et nous voilà sur le trottoir dans la nuit de l’hiver parisien. Et je ne sais toujours pas quoi faire. Je suis complétement conscient qu’il faudrait que je prenne les opérations en mains mais je sais pertinemment que je vais rester spectateur, laissant probablement glisser mon destin devant mes yeux sans bouger. Elle me fait face, elle sourit, je suis livide. Je me sens comme un gamin de 13 ans qui, dans sa tête, s’apprête, peut-être, à oser rouler sa première pelle. Je m’attends à ce que ce moment dure des heures, mais non. À ma grande surprise, c’est elle qui fait le premier pas et me dépose un chaste baiser sur les lèvres. Et c’est encore un peu incrédule que je la vois quelques instants après replonger vers mon visage pour me rouler une énorme pelle. Bien content de l’aubaine je ne demande pas mon reste, mais un peu stressé de faire un faux pas qui gâcherait tout, je sens ma guibole qui tremble. En attendant j’y vais de bon cœur, mais c’est bien sa langue à elle qui me fouille la bouche. Quelques secondes ...