Le sceptre de la Reine des Amazones
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
humour,
aventure,
... gouttelettes d’eau, comme un fruit fraîchement cueilli. Certes, un vrai professionnel ne mêle jamais plaisir et travail, mais il est des cas particuliers que ne mentionne aucun manuel. — Nous avons parlé archéologie.— Ha… et… heu… on peut savoir de quoi plus précisément ? Sydney sent le regard qui suit la ligne partant du creux de ses reins et qui se prolonge dans la vallée de ses secrets. Docilement, pressentant les désirs de son agresseur, elle se cambre davantage. — De l’archéologie des habitats troglodytes : les cavernes cachées, les couloirs étroits..— Ha… je vois… je vois… et… L’agresseur écarte du pied les jambes de Sydney avec autorité, ouvrant un peu plus les cuisses, creusant les fesses. Rien n’est si bon que de dominer ces faibles femelles. Profitant de son avantage, il pose une main sur la chair dévoilée et élargit la voie ; il est prêt à découvrir ce que tous ne font qu’imaginer, juste là où le sillon se creuse un peu plus… Sa pression sur la nuque de Sydney se relâche imperceptiblement… Elle réagit en un éclair. D’une simple ondulation du haut du corps, elle échappe à la lame sur sa nuque. Pivotant sur elle-même, son bras droit immobilise celui de son adversaire, tandis que le coude gauche s’enfonce sèchement au niveau du foie. La serviette s’envole en tournoyant, comme au ralenti. L’homme se plie en deux sous la douleur et n’a pas le temps d’esquiver le coup de pied qui s’écrase sur son entrejambe dans un claquement compact. Il n’est pas encore à genoux qu’une ...
... main frappe de taille la base de son cou : il s’effondre pour de bon, emportant la vision floue du corps nu de sa proie. Sydney rattrape sa serviette juste avant qu’elle ne touche le sol. * * * * * — Vous êtes Américain ?— Oui, je suis en mission scientifique. Top secret.— Impressionnant… La petite femme de chambre semble sincère. Plateau en main, elle ondule vers Nigel, assis sur le bord de son lit. Elle sourit, ses cheveux blonds cendrés ramenés en chignon soulignent la finesse d’un visage exquis où se disputent candeur et malice. Lorsqu’elle se rapproche, une odeur de fraise semble émaner de sa poitrine vertigineuse. Son nom est sur le badge épinglé au niveau de son cœur : Elena. — Où dois-je mettre votre eau gazeuse, monsieur ?— Heu… heu… là. À côté du lit, c’est pour la nuit… j’ai souvent chaud…— Vous dormez en pyjama ? s’inquiète la femme de chambre en déposant la bouteille aux pieds de Nigel, de sorte qu’il ne peut que constater la fragilité du soutien-gorge niché sous la tenue noire et blanche typique.— Pardon ?— Vous dormez en pyjama ? réitère-t-elle avec un sourire.— Heu… beuh… non… je…— Vous avez déjà chaud, avouez.— Hein ? Oh…— Allons, mon gentil Américain, laissez-vous faire. Je vais m’occuper de vous, susurre-t-elle en repoussant Nigel en arrière afin de l’allonger sur le lit. Son plateau posé à terre, elle trousse sa jupe courte, enfourche Nigel et s’assoit sur la bosse qui tend déjà son pantalon. Cambrée, ses mains serrées sur les cuisses derrière elle, Elena ...