1. INITIATION À L’EXIBITION - Dévergondages 10


    Datte: 17/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... jusqu’au ras de ses genoux, puis, contemplant la végétation d’un regard brumeux, elle ouvre le compas de ses jambes très doucement, mais sans interrompre la progression de la découverte de ses cuisses ni de son abricot surmonté de sa toison admirablement peignée. Edmond la tenant sous sa domination, assure sa volonté. - C’est bien ma chérie, vous nous offrez une magnifique exposition de vos cuisses et de votre vulve, pour notre plus grand plaisir, et j’espère pour celui de quelques admirateurs qui vont pouvoir se régaler de vos appas. Surtout ma chère, je vous recommande de ne pas bouger. Discutons, comme si de rien n’était. Odile est tétanisée de se savoir ainsi exposée à la vue de toutes les personnes qui passeront ayant dans leur champ de vision son entrecuisse grande ouverte ou même, au regard des consommateurs qui sont autour de leur table. Déjà, deux promeneurs d’un certain âge ont ralenti lors de leur passage devant leur table ; leur regard goguenard ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’ils avaient à contempler les appas de la belle bourgeoise. Mais ce sont les mines réjouies d’un couple de trentenaire qui la fixe intensément, qui trouble surtout Odile. En effet, l’homme et la femme se trouvent à une table juste en face, à quelques mètres. L’homme qui porte un blazer sur un jean’s délavé, sa main glissée entre les cuisses de sa compagne, ne laisse aucun doute sur ce qu’il est en train de lui faire. La femme porte une mini-jupe blanche qui est retroussée ...
    ... jusqu’en haut des cuisses, son « Top » échancré, de même couleur, baillant jusqu’à laisser voir une poitrine opulente qui déborde largement. La femme, une blonde un peu grassouillette, lui sourit carrément alors que, se soulevant légèrement, elle remonte sa jupe sur ses hanches, laissant voir quelque peu ses fesses nues, mais surtout, son pubis complètement épilé lorsqu’elle écarte les cuisses pour faire comme sa voisine. Odile est rouge pivoine, surtout que le garçon, ne se gène pas pour introduire ses doigts dans la chatte qui luit de son humidité apparente. Edmond a bien vu le manège du couple, et, pour se mettre au diapason, il projette sa main sur la vulve de sa compagne. Celle-ci, surprise par cette attaque soudaine sur son intimité, referme ses cuisses sur la main audacieuse, mais Edmond réagit aussitôt. - Tsitt ! Tsitt ! Petite Salope. Voulez-vous bien ouvrir vos jambes immédiatement ! Sous l’insulte et l’ordre impératif de son suborneur, Odile réagit comme une soumise devant son maître, elle ouvre les cuisses sur-le-champ, alors qu’un sanglot s’échappe de sa gorge, humilié d’obéir ainsi, éprouvant un dégoût d’elle-même à se comporter comme une moins que rien. Pourtant, elle tressaille aux doigts qui parcourent sa vulve, éprouvant, malgré sa pudeur mise à rude épreuve, un plaisir diffus. Sa chair réagit aux doigts diaboliques qui l’amènent à chaque fois à jouir encore plus. Son regard accroche celui de la blonde plantureuse. Celle-ci jouit manifestement sous la main de son ...
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