1. Une soirée débridée (1)


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cavaliers. De mon côté, je me suis retourné face à cet homme, nous partons en direction du bar, j’apprends qu’il s’appelle Gérard, et qu’il a cinquante-deux ans. Je trouve qu’il est plutôt charmant, malgré les vingt-ans d’écart qui nous sépare. Nous prenons un verre, puis nous retournons au bout de dix minutes sur la piste. La musique a changé, c’est à présent du rock qui est diffusé. L’homme me fait tournoyer comme jamais, il a un vrai talent dans ce domaine, j’en aurais presque la tête qui tourne. J’essaye tout de même de tenir le bas de ma robe afin de ne pas montrer mon intimité à tout le monde, mais c’est assez difficile. L’ambiance s’apaise un peu, avec les filles et nos compagnons du soir, nous nous retrouvons autour d’une table, puis nous trinquons à cette soirée sympathique. Le disc-jockey change alors de registre puisque maintenant se sont des slows qui s’échappent des enceintes du pub. Naturellement, et d’une façon galante, il m’invite à le rejoindre sur la piste de danser. Dans le même temps, François et Barbara embrassent leurs cavaliers respectifs. Je me retrouve maintenant contre le torse de Gérard. Il est légèrement bedonnant, mais cela ne me dérange pas plus que ça. Dans un premier temps, par pudeur, je le prends autour du cou, et ce dernier à ses mains posées sur ma taille. Puis, petit à petit, je sens ses doigts parcourir mon dos avec une douceur incroyable. J’en ai des frissons. Ce dernier perçoit certainement cette sensation, me prend par la nuque, et ...
    ... échange avec moi un baiser langoureux. Le disc-jockey ne loupe pas cette scène, et au micro félicite les amoureux que nous sommes. Les filles entendent cette annonce, tournent leur tête en ma direction et échange de nombreux sourires. Nous nous asseyons de nouveau autour de la table, nous consommons une petite bière, puis avec Gérard, nous nous faisons des accolades. Dans le même temps, Barbara nous annonce qu’elle va partir avec son compagnon du soir. Nous ne trouvons aucune objection à dire. Nul doute que cette dernière ne va pas jouer au domino avec lui. Je suis contente pour elle. Françoise de son côté part danser avec son cavalier, Sébastien, et moi, je me retrouve seule avec mon quinquagénaire. Nous échangeons plusieurs baisers, plusieurs accolades puis ce dernier pose une main sur la partie dénudée de ma jambe. Je sursaute légèrement, je n’ai plus trop l’habitude qu’un homme me touche, mais Gérard me dit de ne pas m’inquiéter. Je le laisse donc faire, je suis totalement en confiance avec lui. Je jette tout de même un œil à ma montre, il est une heure et demie, le pub va fermer dans trente minutes, puis je retourne à mes occupations. Mon cavalier continue de caresser ma jambe, et je ne sais pas pourquoi, mais j’ai comme l’impression qu’il tente de monter de plus en plus haut. Machinalement, je décroise mes jambes, elles ne sont pas écartées vulgairement, mais ce signal est perçu positivement par Gérard. Ce dernier ne se prive pas pour atteindre la lisière de mon string ...