1. Le fétiche


    Datte: 17/01/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, grossexe, pénétratio, aventure, fantastiq,

    Permettez-moi vous raconter une histoire étrange qui m’est arrivée il y a plus de trente ans ! Mon nom est Reginald Johnson, Reg’ pour les intimes. J’ai soixantaine-deux ans et je suis professeur d’anthropologie au « University College London – UCL ». Les tribus amazoniennes constituent ma spécialité, si bien que durant de nombreuses années, j’ai passé le plus clair de mon temps ballotté entre mes recherches sur le terrain et mes cours à la faculté. C’est au cours d’un de mes derniers voyages au Pérou que tout a commencé. À l’époque, j’étais encore célibataire. Je voulais profiter de la vie et des faveurs de jeunes et jolies étudiantes trop heureuses de partager la couche de leur « Indiana Jones » de prof tout en espérant bénéficier de ma mansuétude à l’heure des examens. Au cours de ce fameux voyage, j’ai été amené à épouser la très jeune fille de Mashurca, le chef du village dans lequel je venais de passer plusieurs mois. J’ai eu beau lui expliquer que je ne reviendrais sans doute jamais et qu’il valait mieux que sa fille épouse un des valeureux guerriers de sa tribu, il n’a rien voulu entendre. Lier sa famille à celle d’un « sorcier blanc », constituait pour ce chef une marque de prestige tellement grande qu’il aurait été imprudent de refuser l’honneur qu’il me faisait. C’est ainsi qu’à l’issue d’une cérémonie largement arrosée d’eau de feu, de ayahuska et de substances psychotropes plus violentes les unes que les autres, je me suis retrouvé marié à Nuse, une jeune et ...
    ... jolie jivaro de 16 ans. Je sais ce que vous pensez, mais les jeunes filles jivaros ont des rapports sexuels tout ce qu’il y a de plus naturels dès l’âge de 13 ans. Et, malgré son jeune âge, Nuse était déjà très expérimentée et, pour tout dire, assez portée sur la chose. Pendant les semaines qui ont suivi, ma jeune épouse m’a initié aux délices des étreintes jivaros. Les jivaros n’étant pas d’un naturel jaloux, j’ai eu l’occasion de bénéficier de cours collectifs données par plusieurs professeurs, toutes plus mignonnes les unes que les autres et qui affichaient leur nudité adolescente sans aucun préjugé. Mais mon séjour touchant à sa fin, il a fallu penser à retourner à la civilisation. Mashurca a organisé une grande fête pour célébrer mon prochain envol dans « l’oiseau de fer » et pour m’offrir une multitude de cadeaux, témoignages des liens m’unissant dorénavant à sa famille. Parmi ces cadeaux, il y avait un étui pénien de près de trente centimètre de long. Malgré mes multiples séjours dans la région, je n’en avais jamais vu de pareil. Il était richement décoré de petites plumes multicolores qui le faisaient ressembler au long cou d’un oiseau de paradis. À son sommet, se dressait une minuscule tsantsa, une tête réduite dont les yeux et la bouche étaient cousus dans le plus pur style jivaro. Malgré son côté répugnant, j’ai été immédiatement fasciné par cette parure étrange qui était dans la tribu depuis plusieurs générations et que le chef avait lui-même reçu de son beau-père ...
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