1. En panne 5 FIN


    Datte: 17/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... prenons son avis. Monique as-tu des brûlures dans l’anus.? Je veux la vérité. - Oui, mais moins fortes que dans le vagin. - Exactement ce que je pense. Elle est exploitable de ce côté. - Fais ce que tu veux. Je veux ignorer ta folie, je m’en vais, j’en ai ma claque. Peut-être le cabinet médical est-il encore ouvert . J’y fonce, il n’est peut-être pas trop tard pour lutter rapidement contre cette maladie infectieuse. - Ce con me fout la frousse. Monique, je regrette, ce n’est que partie remise. Dès que tu seras guérie nous reviendrons te faire ta fête. Tu en prendras des mètres dans le troufignon. Courage. La porte d’entrée claque pour la deuxième fois : la peur des bactéries a mis les crapules en fuite. Il faut que j’aille m’occuper de ma femme. La malheureuse tourne la clé et éclate de rire. La blennorragie crée-t-elle un état de démence ? Au point où j’en suis, je sors par la porte de la cave et je vais récupérer ma voiture et je reviens sonner chez moi. Monique met un certain temps à demander: - Qui est là? Non René, stop, tu abuses. Je n’ouvre plus, j’en ai marre de ton chantage. Fous le camp et va soigner ta maladie sexuellement transmissible. N’insiste pas ou cette fois je raconte tout à mon mari, tu ne me feras plus chanter. Arrête de sonner - Monique, ouvre, c’est moi, Paul. Paul ? Tu es loin d’ici, hélas. .René tu plaisantes, je ne marche pas. Tu as des envies, va chez ta femme et n’oublie pas de lui transmettre tes microbes. Salaud Ma femme ne reconnaît plus ma ...
    ... voix. Je dégaine mon portable et j’appelle mon fixe. - Allo, chérie, j’ai fini plus tôt que prévu, je suis de retour. Regarde par la fenêtre, tu verras la voiture devant le garage. - Oh ! Pardon mon amour, tout de suite, j’accours. La malade a bonne mine. Ces maladies sont trompeuses ou Monique s’efforce de dominer brûlures et picotements. - Comment vas-tu ? - Très bien, beaucoup mieux qu’hier. Embrasse-moi, mieux que ça, je n’ai pas la gale. - Ni une m.s.t. ? - Paul tu es fatigué, qu’est-ce que tu me racontes ? En voilà une idée. Viens boire un coup. Après nous mangerons et nous irons au lit pour faire l’amour? - Vraiment ? Pourquoi me prenais-tu pour René ? Il te fait chanter ? Explique-moi , raconte ce que tu dois me dire. - Ah, tu as entendu ? Il est temps que je te parle et que je soulage ma conscience. Monique me raconte sa journée, la visite de Noël. Osera-t-elle. Je prononce le prénom de mon collègue: - Tu n’oublies pas René ? Libère-toi , bon sang. J’ai besoin que tu aies confiance en moi Elle se lance dans le récit de tout ce que j’ai entendu. Elle pleure, maudit ses faiblesses, reconnaît qu’elle a cédé plusieurs fois au chantage de René. Ils ont fait l’amour le mercredi, lui en usant de la menace de montrer photos et lettres et elle terrorisée à l’idée de ma fureur et d’une probable demande de divorce. Mais tout à coup, bizarrement et de façon inquiétante elle se met à rire: -Tu sais je les ai bien eus. - Qui « les », où, quand et comment ? - Voilà ce qui s’est passé ...