1. Un bois ordinaire


    Datte: 18/01/2020, Catégories: hhh, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral hdanus, hsodo, Gay

    ... 12 h 15. Même à l’ombre des frondaisons, la température est élevée. Une fois dans l’allée, je me dirige à gauche vers la route qui m’a mené ici. Je remonte le parking. Je passe devant la voiture où se trouve le bonhomme qui m’a souri tout à l’heure. Il me suit du regard. Il est garé dos au bois et peut ainsi suivre les déplacements des rares piétons qui passent par là. Il faudra que je me rappelle de me garer dans le bon sens quand je reviendrai ici. Il me sourit encore en me suivant des yeux. Je lui rends son sourire. Je crois discerner un geste de sa part m’invitant à m’approcher, mais je l’ignore pour l’instant. Je veux d’abord me familiariser avec l’endroit. Trois autres voitures sont garées mais sont inoccupées. Je continue et découvre une entrée au bois. Elle est protégée par une barrière visant à empêcher les voitures de pénétrer. Il faudrait qu’elles soient vraiment très étroites pour passer par là. Je devine que c’est par ce chemin que je vais trouver mon bonheur, ou pas. J’hésite encore. C’est la première fois que je fréquente ce genre de lieux en plein air. J’ai peu d’informations et je crains de ne pas avoir le profil adéquat. Je suis d’âge mûr et, sans être énorme, je ne suis pas non plus un mannequin. Si je dois tomber sur des éphèbes qui exhiberont leur corps impeccable, ce sera parfait pour mes yeux ; mais s’ils dédaignent un gars entre deux âges, c’est mon orgueil qui en prendra un coup. C’est pourquoi je repousse l’instant de m’enfoncer dans le bois et que ...
    ... je retourne vers mon véhicule, d’une démarche faussement nonchalante se voulant être celle du promeneur qui erre sans but précis. Tout à mes pensées et à mes interrogations, je ne me suis pas aperçu que tout en marchant, je me suis rapproché sensiblement du véhicule occupé par le gars qui me matait. C’est à quelques dizaines de centimètres de la carrosserie que je prends conscience de la présence du 4x4. Je lève soudain la tête et aperçois le gars assis à son volant qui m’observe, un peu surpris de ma distraction. J’ai le temps de voir qu’il n’est pas tout jeune non plus ; n’a plus beaucoup de cheveux, porte un tee-shirt blanc et, surtout, qu’il est nu à partir de la taille jusqu’aux genoux où son pantalon est baissé. Il tient son sexe mollasson mais de belle taille dans sa main droite. Je reste immobile quelques secondes et le regarde. Plus de doute : je suis au bon endroit, et l’âge apparent du quidam me rassure sur la population qui fréquente ce lieu. Je pense qu’on doit être au moins deux hommes mûrs dans le coin. Pendant ce temps, remis de sa surprise, l’homme a repris les choses en main, si j’ose dire. Il baisse la vitre. — Bonjour, dit-il, ça va ?— Euh… bonjour.— Tu es nouveau ici ? Je ne t’ai jamais vu.— Euh… oui.— Tu veux monter ?— …— T’as vu ce que j’ai à t’offrir ? C’est vrai que sa bite a pris de la consistance. Visiblement, je lui fais de l’effet, ou bien il est dans un tel manque que son sexe ne peut que réagir à quelques va-et-vient de sa main. — Pas maintenant ...
«1234...9»