1. Alice émerveillée (1)


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Erotique,

    ... cette femme qui lâchait le sexe de son compagnon pour le membre dressé de son mari à elle, en maîtresse possessive, exigeante. Eudes ne regardait plus Alice, comme s’il avait oublié sa présence, comme s’il n’avait plus besoin de sa présence pour assouvir ses désirs… Alors, Alice se leva discrètement et sortit, les yeux baissés, pour éviter un éventuel regard de reproche d’Eudes. Elle revêtit son peignoir et se hasarda dans le couloir qui desservait les autres salles. En passant devant les « cabines de repos », aux portes ouvertes, elle découvrit des couples qui copulaient en diverses positions, probablement non olympiques (quoique… les dieux de l’Olympe…) ; une grosse femme offrait sa croupe à un homme agenouillé derrière elle, qui lui claquait les fesses sous les yeux admiratifs du probable mari… Ce spectacle la fit rire « C’est ça, le sexe libéré ? » se reprit-elle à penser, cette fausse fessée pour la punir de quoi ? de l’autoriser à la sodomiser ? Et l’époux qui secouait un pénis mollasson, tout en encourageant l’amant de sa femme à se montrer encore plus performant, comme le ferait un turfiste sur un hippodrome… Elle passa devant d’autres cabines, fermées, d’où émanaient des bruits de corps se cognant, accompagnés de longs mugissements censés exprimer une intense satisfaction… Alice était consternée ! Elle ne se voyait pas prise ainsi et poussant de tels cris de jument en chaleur. brhboomi Elle retira son peignoir et, pour échapper à ces images et à ces bruits ...
    ... déprimants, elle se décida à entrer dans le hammam, plongé dans la pénombre, et s’assit sur la banquette. Quand ses yeux s’habituèrent à la quasi-obscurité, elle retint un juron : un homme, assis à côté d’elle, la bouche entrouverte, gémissait doucement, pendant qu’une femme à genoux entre ses jambes écartées, appuyait sa tête contre son ventre en effectuant de très indiscrets bruits de succion. « Même là… » A sa corpulence, à sa tête rasée et à sa poitrine velue, elle reconnut Gilles, et la chevelure de la femme identifiait Fleur... Tournant la tête vers la nouvelle arrivée, il la vit et lui sourit. Alice pour ne point paraître se dérober, lui rendit son sourire et lui demanda, narquoise : « Elle suce bien ? ». Interloqué, Gilles mit quelques secondes à réagir : « Oui, oui, elle suce très bien, mais moins bien que vous, j’en suis sûr… ». Surprise à son tour, Alice ne sut que répliquer à l’audacieux. Elle s’apprêtait à fuir, quand elle sentit la main du sucé se poser sur son épaule. Surprise par la caresse, elle hésita, hésita, remit sa fuite à plus tard. Profitant de son hésitation, Gilles l’attira vers lui, sa main glissa de son épaule vers son sein, le tata, le pelota avec douceur, jouant avec lui comme avec un jouet antistress. Sa pudeur protégée par la pénombre et la vapeur, Alice se surprit à apprécier cette caresse, puis à désirer qu’elle continuât. La main remonta vers son visage et le pencha vers son membre dressé, qu’il avait retiré de la bouche de Fleur. Alice hésita, ...