1. Job d'été


    Datte: 18/01/2020, Catégories: f, fh, hplusag, sauna, hotel, Masturbation massage, confession,

    ... contrôle. Quand je n’avais pas la tête en arrière, je regardais monsieur Paul. Tout absorbé à sa tâche, je le voyais concentré à manier Kébour de la meilleure façon possible en se délectant de la vue offerte. Son air en disait long sur son état d’esprit. Un air avide de découvrir la face cachée de sa proie. Puis d’un coup, la « chose » s’arrêta net. Pas n’importe où, mais appuyée sur ma toison. Surprise de cet arrêt soudain, j’entendis ces propos : — Il est temps pour monsieur Kébour d’explorer la femme qui est en vous, de la faire surgir enfin ! Les fesses au bord de la pierre avec les jambes écartelées, je sentis la pression très forte de Kébour. Il se délectait de mes frissons et les intensifiait en roulant sur lui-même et gardant la même place. Il descendit légèrement en atteignant mon petit bouton et roula à nouveau. Je gloussais sans retenu maintenant, mes cris s’élevant chaque fois encore davantage dans cet endroit si particulier. Il le souleva, l’engloba, le touchant de tous les côtés. Mes jambes se resserrèrent sur lui en l’emprisonnant. Il continua à tourner sur lui-même et l’effet produit fut incroyable de plaisir. Je relâchai à nouveau mes jambes pour le laisser libre arbitre de m’explorer d’avantage et de prolonger ces moments de délices. Totalement hors de contrôle je gémis des propos incompréhensibles. — Hummm ouiii… ooohhh . . aaahhh hmmmm encoreeee… ! Il quitta la place pour remonter sur mon ventre, puis revint se placer directement dessus. Il officia ainsi ...
    ... plusieurs fois, me laissant chaque fois dans un sentiment de frustration. Monsieur Paul m’observait pendant ce temps et je sentais du plaisir à me voir gémir de consternation et en m’entendant réclamer la chose… Je vis sa satisfaction à me voir ainsi offerte à ses vices, de voir cette belle jeune femme soumise et attendant le plaisir ultime. Il joua et joua encore, me rendant complètement folle. Je soulevai mes fesses tellement mon corps était électrique par moments. Il me calma en pressant Kebour sur mon ventre m’intimant l’ordre de redescendre. Puis il revint à son lieu favori exerçant des roulements à n’en plus finir. Il s’aventura un peu plus bas, atteignant mes chairs ultimes. Il n’eut aucun mal à les soulever glissant aisément dans ces contrées accueillantes. Il ne força pas le passage, se contentant seulement de l’ouvrir chaque fois un peu plus. Il le remonta et le fit descendre tout à son aise dans cette place tout acquise à sa cause car la maîtresse montrait encore plus des signes de satisfaction, ondulant son bassin et émettant des cris indécents de jeune femme avide. Par ce petit instrument insignifiant, mais dirigé par un expert, elle découvrait la puissance de bonheur que son sexe pouvait lui donner. Elle n’avait jamais crié comme cela avec son précédant petit ami, pourtant elle éprouvait tout de même du plaisir avec lui mais jamais comme maintenant. Je fus surprise de sentir Kébour se retirer. Frustrée à nouveau et la tête tournoyante, dégoulinante de partout, je ...
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