Souviens-toi
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Lesbienne
... douce viennent fignoler le tableau.Elle et moi n'avons à aucun moment, interrompu nos câlins personnels. Mais je me suis rapprochée de Jenny. Aucun recul de sa part ne me montre que j'ai eu tort. La main que je promène sur moi, quitte ma chatte, elle s'envole vers une autre contrée. La texture de cette peau sombre passe par mes doigts qui s'habituent à cet épiderme chocolat. Elle est douce, chaude, et je ne résiste pas au plaisir de poser ma bouche sur le cou de la femme qui est alanguie sur notre canapé. J'ai senti le souffle qui sort des lèvres sombres. Elle a esquissé un bisou que j'apprécie.Elle m'offre un blanc-seing, signifiant par-là qu'elle se soumet à mes tentations. Nos deux bouches se dévorent, s'ouvrent, s'offrent, se mangent et quelles saveurs étranges, exquises. La fièvre s'empare de mon âme, de son esprit et les met en communion. Dans le silence musical qui berce nos baisers, ta voix éclate comme un coup de tonnerre.- Claude ! Va chercher nos jouets ! Allez lève-toi et rapporte-moi, nos amis !Je comprends que tu me demandes d'aller au coffre qui se trouve le long du mur, de te ramener le martinet, la cravache, les chaînes ; les entraves et malgré une hésitation, je fais ce que tu me demandes. La soirée prend une drôle de tournure il me semble. J'ai posé sur la table du salon, les objets désirés et elle regarde cela avec des yeux amusés.- Tu as vu de quoi il s'agit ?Cette demande s'adresse à Jenny. Elle acquiesce avec un large sourire.- Claude pose les ...
... bracelets à notre amie.Là encore sans un mot, je m'exécute. Chaque membre de la belle est muni d'un bracelet de cuir que je sers au maximum. Puis sur son cou, je pose aussi un collier de cuir.- Parfait ! Maintenant déshabillez-vous toutes les deux. Bien c'est parfait, vous voici sœurs pour une nuit.Nues, l'une en face de l'autre, la blanche que je suis et la noire qu'elle est, j'imagine aisément ce pied que tu dois ou vas prendre. Elle est ensuite chargée de me poser les mêmes jouets que ceux qui ornent ses bras, chevilles et cou. L'égalité sur toutes les coutures. Tu nous entraînes, une laisse au cou, les deux, vers notre petite chambre spéciale, ton donjon personnel en quelque sorte. A peine la porte est-elle refermée que nous sommes, elle et moi, accrochées au mur par des chaînes qui pendent après des anneaux énormes. L'une en face de l'autre sur les murs opposés. Puis un foulard clos les regards de la jeune fille à la couleur sombre.Tu lui expliques les règles, je l'entends glousser, rire, mais j'ai l'impression que ce rire est un peu forcé. Elle a sûrement peur et ne veut rien montrer. Je ne suis pas aveuglée et je te vois caresser lentement ce corps qui pour le moment roule des hanches sous tes doigts baladeurs. J'ai immédiatement une certaine moiteur entre les cuisses. Elle se love ou essaie de le faire contre ta main qui va et vient, sans vrai but précis, si ce n'est celui de lui donner cette envie qui la fait se tortiller. Elle râle, elle soupire, elle en redemande, et tu ...