Souviens-toi
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Lesbienne
... expérience-là et maintenant tu t'escrimes, en passant par elle, à me démontrer que tu as raison. Ton esprit ne veut pas que mes regards quittent le corps de Jenny et je vois cette badine qui a tant rencontré mon cuir à moi. Elle se déplace lentement sur le corps de notre invitée, elle n'a pas de chemin clairement établi.Elle va où ta main la pousse, elle descend entre les cuisses pour remonter sur le dos. J'ai vu le petit mouvement du poignet alors que la cravache se lève. Oh ! Elle ne s'est pas soulevée de beaucoup, à peine un centimètre ou deux et elle est retombée sur la fesse. Jenny n'a pas du vraiment, avoir mal, mais maintenant elle se raidit, elle sait, comprend qu'elle va être fouettée. Je comprends cette peur qui doit s'infiltrer en elle, cette terreur dans l'attente ; Comme je la plains, comme je l'envie, j'en veux aussi, mais c'est seulement pour elle. Maintenant, ta main s'est vraiment relevée, et elle ne bouge pas, elle est toute tendue, ne sachant pas ce qui va se passer. Tu changes de place sans bruit, et tu es face à notre demoiselle.Tu armes ce bras que tu veux abattre. Coup sec qui donne l'impression que la cravache crève l'air et la palette plate du bout de l'engin vient claquer avec un bruit mat sur la peau sombre. J'imagine avec un frisson cette morsure qui cloue sur place notre infortunée invitée, mais ton bras a déjà retrouvé un autre endroit pour sévir, alors qu'elle attend sur les cuisses un second coup. Celui-là tombe en travers de sa poitrine, tout ...
... aussi appuyé que le premier. Mon dieu comme c'est douillet, sensible cette partie du corps, et pourquoi ne me donnes tu pas ce troisième coup que tout mon être espère ?La badine retombe maintenant sur les épaules, et Jenny crie. Elle crie même très fort, le jeu est haletant, pour elle qui se tourne comme un pendule au bout de sa chaîne et pour moi qui voudrais juste un petit coup libérateur. Tes yeux, sont dans les miens, et ces quelques mètres qui nous séparent, n'y changent rien. Ils sont là à scruter mon âme en passant par mes globes oculaires. Tes regards s'enfoncent en moi, et je me sens toute chose, tu veux me faire vibrer sans me toucher. Tu commences donc par me voler mon esprit, pour mon cœur, il y a longtemps que c'est fait. Elle, elle ne dit plus rien, tout simplement secouée par des sanglots, des larmes qui ne coulent pas sur ces joues, le tissu du bandeau les absorbe au fur et à mesure de leur sortie.Mais je sais qu'elle pleure, sa poitrine monte et bouge comme la mienne quand j'ai des larmes. Ces pleurs, ce sont les miens que tu lui offres, ce sont les miens que tu me voles aussi. Ce plaisir que je recule le plus possible, c'est sa souffrance à elle et je sais que plus vite j'exploserai, plus rapidement elle ne t'intéressera plus. Je veux encore résister, ne pas te donner satisfaction dans l'instant. Alors, sur cette croupe rebondie, qu'elle affiche avec ou sans vêtement, la cravache passe et repasse. Elle tourne d'un pied sur l'autre, alors que loup affamé, tu ...