1. Souviens-toi


    Datte: 18/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Lesbienne

    ... et ma jouissance si violente. Je m'arrache presque les poignets à vouloir bouger dans mes chaînes et puis, soudain cette lumière qui m'aveugle toute entière, l'explosion de tout mon corps alors que je pends lamentablement au bout de ces entraves.Mes cuisses sont inondées par des filets de baves qui coulent de mon sexe en fusion. Mon ventre se liquéfie, je me vide aussi de l'intérieur, sans que personne n'ait eu à mettre un doigt sur moi. Dans ce dernier spasme avant que la fin du monde ne m'emporte, je te regarde et ce sourire qui t'éclaire le visage, illuminant ta face me révèle que ton bonheur à toi est aussi immense que le mien. Ensuite, je n'ai pas vraiment de notion de la suite durant un long moment. Quand je refais surface, Jenny est auprès de moi et c'est son souffle qui me coure sur le visage qui me donne un sentiment de fraicheur.- Tu es de retour parmi nous ? Ouf ! Je me demandais quand tu allais revivre ! C'est donc cela que vous autres, les français vous appelez la petite mort ? Tu as joui, le plus fort que je n'ai jamais vu en matière de jouissance, comme tu es belle quand tu te pâmes ainsi.Tu m'as tendu un verre. Du champagne, c'est un grand jour alors ? Qu'avons-nous de si particulier à fêter ? Je pense que je sais ce qui te fait jubiler de la sorte. Tu viens de remporter ta plus belle victoire. Tu sais maintenant l'effet que cela me fait de te voir faire à une ou un autre ce que j'aime par-dessus tout. Tu es prévenant pour les deux, et je t'aide à passer sur ...
    ... les éraflures de notre amie l'onguent qui nous sert de sésame ; un passage apaise le feu du fouet et calme les petites douleurs, efface les zébrures possibles. Mais sur cette peau, le recto comme le verso, n'a pas marqué, et seul le meilleur, le souvenir subsiste déjà.Mais Jenny semble avoir aimé cela et que je jouisse de ses déboires lui a donné une toute autre espérance. Elle me dévore les lèvres dans de petits bisous que je ne refuse pas. Puis, ce sont ses mains qui ne quittent plus mon corps. Elles se traînent sur mes seins, tirant et malaxant autant la chair que les tétons. Mes soupirs lui en disent long sur l'avancée de ses caresses et elle s'enhardit de plus en plus. Elles ont vite conquis mon nombril et le bas de mon ventre, gagnant ainsi du terrain vers le centre de ce nid tant convoité. Elle s'y est frayée un chemin, non sans avoir, au passage, tiré les quelques petits poils qui ornent mon pubis. Sa langue est aussi dans ma bouche mais elle se faufile vers la pointe de mes seins et ses petites dents si blanches, croquent dans les sombres aréoles qui chapeautent l'ensemble de ma poitrine.Elle mord, sans aucune retenue, elle sait qu'elle peut faire mal, mais elle n'en a cure. Toi, de ton siège tu assistes à ce papillonnage de deux femelles en rut. Raide comme une saillie, ta queue se dresse vers nous deux, vibrant hommage à cette offrande que tu convoites. Tu sais aussi que sans te presser, l'une ou l'autre, voire l'une et l'autre, nous viendrons nous empaler sur ce ...
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