1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1083)


    Datte: 19/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... passe. Des années d’amitié nous lient l’un à l’autre, amitié sans faille et on ne va pas la défaire ou se déchirer pour des fadaises.... - Fadaises ? cria le Maître ! Vous appelez « Fadaises » le fait de me mentir dans ce que vous avez tenté d’obtenir de Ma petite chienne, outrepassant mon autorisation, vous faisant confiance ? Vous appelez « Fadaises » votre tentative de m’acheter ma pouliche en parlementant avec Walter, mon Majordome ? Vous appelez « Fadaises » l’insulte que vous me faites personnellement de douter de la Noblesse de ma petite chienne, mais regardez-là donc ! L’attrapant par le nuque et le forçant à me regarder : - Regardez là encore et encore et dites moi, s’il vous plait si une seule non seulement de vos femelles ou des femmes résidant dans votre demeure n’arrivent au talon de Ma pépite ? Monsieur le Comte semblait anéanti, se sentant à la fois démasqué mais maintenant moqué par le Châtelain le rabaissant méchamment. - Monsieur le Comte, je ne puis, dans ces conditions continuer de vous compter parmi mes amis, mais, de façon à vous faire taire définitivement, ne pouvant continuer à vous faire confiance, je vais vous donner une leçon devant témoins. - Walter, va chercher ici immédiatement, Marie notre merveilleuse cuisinière et le chauffeur de Monsieur le Comte ! - Bien sûr Monsieur le Marquis ! Le Comte ne comprenant, visiblement plus ce qui se tramait… - Mon chauffeur, mon ami, mais que vient faire mon chauffeur là-dedans ? - Vous verrez bien Monsieur... ...
    ... Vous m’avez gravement offensé, vous avez tenté de me déposséder de mon bien le plus cher, vous avez pensé naïvement que par quelques pièces ou écus, j’allais vous céder Ma perle, comme vous dites, Ma pouliche, et enfin, vous avez tenté d’outrepasser ce que je vous avais gracieusement offert ! Devant tant d’offenses, je ne peux que demander réparation et puisque je suis l’offensé, j’ai donc le choix des armes ! - Grand dieu, mon ami, tenta Monsieur le Comte à nouveau, reprenez votre bon sens... Walter tapait à la porte : - Entrez, ordonna le Maître. Le Majordome entra et annonça la présence du chauffeur de Monsieur le Comte, et celle de Marie… Le bureau du Maître se remplissait, outre le Maître et Monsieur le Comte, se trouvaient présents, le chauffeur, Marie la cuisinière, Walter et moi. Cela faisait six personnes. Maître fit disposer des fauteuils, 2 à la droite du Comte, deux à sa gauche, Maître à son bureau et moi, restée debout. Visiblement Monsieur le Comte n’était pas à son aise, Marie et le chauffeur du Comte ne comprenant pas le pourquoi de leur présence. Monsieur le Marquis prit la parole de manière autoritaire et à la façon d’un Président de Cour d’Assises : - Monsieur le chauffeur, Marie, et toi Walter, je vous ai fait venir pour servir de témoins dans une grave affaire d’offense commise par Monsieur le Comte vis-à-vis de Ma personne. Alors que j’avais toute confiance en Lui et lui avais octroyé la permission exclusive de se faire sucer par Ma chienne ici présente, ...