1. Espace fermé. Horizon dégagé.


    Datte: 18/09/2017, Catégories: ffh, 2couples, couplus, vacances, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, fdanus, échange, couple+f, entrecoup,

    ... couple. Pourquoi… ? Lorsqu’elle ouvre la porte de la chambre elle trouve son mari en maillot de bain qui s’apprête à venir la rejoindre. Trop tard. Heureusement qu’il n’est pas venu à l’improviste. — J’allais venir. Dommage. Il ment. En réalité il est allé à la salle dans l’idée de tenir compagnie à sa femme et partager ce qu’elle nomme un moment extraordinaire et ressourçant. Mais, alors qu’il allait ouvrir la porte du hammam, il a aperçu un homme, par la petite lucarne partiellement recouverte de buée. Mais il voit suffisamment bien pour remarquer que l’homme est nu, en érection, qu’il entretient par un lent mouvement de la main, le regard fixé devant lui. Il le reconnaît car il l’avait remarqué au restaurant et surtout sortant, avec sa compagne, de sa voiture. Il est la représentation de l’homme fort, grand, musclé, tel que l’imagination se fait d’un géant blond nordique, prêts à ravager des régions prospères à bord de son bateau. Sa femme semble taillée dans le même bois, en plus féminin, plus enveloppée, des rondeurs qui donnent des envies de palper, de caresser. À propos de femmes, il les découvre toutes les deux dans un doux arrangement. La sienne d’abord, assise langoureusement, offerte, presque écartelée par l’autre qui, agenouillée, est manifestement en train de la lécher, la tête enfouie entre les cuisses qu’elle pousse de ses mains. La cloison étouffe les bruits et le silence fait que ce spectacle qui pourrait être violent pour un mari surpris, est presque ...
    ... irréel. Les mouvements sont lents, les gestes mesurés. Même la main qui branle doucement la queue raide ne choque pas. Il regarde un long moment. Seule sa femme donne l’impression de plaisir qui monte. Ses lèvres semblent parler, mais il n’entend rien. Il imagine des « c’est bon » des « encore » qui allument un feu dans ses reins. Un mouvement. L’homme se déplace. Il vient s’assoir a côté de Johanna qui ressent sa présence. Sa main vient remplacer celle de l’homme et maintenant il peut voir que tout est grand chez lui. La main fine de son épouse peine à faire le tour du mandrin et deux mains l’une sur l’autre ne recouvriraient pas la verge. Pour l’instant la menotte s’active à le branler, tirant la peau de haut en bas, couvrant et dégageant le gland dans le même mouvement. L’homme apprécie et son visage montre des signes de plaisir. Il crie. La porte épaisse laisse filtrer son avertissement. Sa femme abandonne la sienne et se précipite. Sa bouche couvre le gland, une main prend la place de celle de Johanna, l’autre presse les couilles. Un rictus, un coup de reins, une pulsation indiquent que le sperme arrive. S’il est en proportion de l’objet, l’inondation menace. Mais la femme tient bon. Jamais elle ne se détache du gland, même si on voit que des flots frappent sa gorge au risque de l’étouffer. L’habitude certainement, mais seuls quelques filets de liquide s’échappent des lèvres, bien vite rappelés à l’ordre par une langue gourmande. Voilà, la source est tarie. La femme abandonne ...
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