Espace fermé. Horizon dégagé. - Histoires de Sexe

Espace fermé. Horizon dégagé.

... rentre toujours plus grosse, plus raide qu’elle n’est sortie du vagin. Les couilles frappent les fesses à chaque fois et chaque fois le sexe glisse de plus en plus facilement dans le conduit ouvert, dilaté et humide de plaisir. Il ressort et, dans un mouvement sec, envahit l’anus que les doigts ont continué de préparer. Le cri qui sort de la gorge de Johanna est comme une expiration de l’air poussé par le gland dans le conduit bien plus étroit et serré. Ce n’est pas de la brutalité mais une envie irrépressible de marquer son territoire, encore réservé au mari, mais pour combien de temps. Il est chez lui. C’est lui qui l’a déflorée par le cul. C’est lui qui lui a fait connaître sa première jouissance avec un mandrin vivant dans les fesses. Elle ne résiste pas. Au contraire elle aide à la possession, se cambre, pousse vers plus de profondeur. Ses mains écartent la raie et si elles pouvaient, ouvriraient encore plus le sillon. Dix, vingt, cent va-et-vient. Enfin il lâche sa semence dans le conduit étroit sans arrêter la possession. Le bruit se transforme, plus humide, plus gras du bâton qui glisse facilement. C’est ce bruit et tout ce qu’il sous-entend qui sert de déclencheur à la jouissance de Johanna. Il l’écrase de tout son poids mais des baisers dans la nuque sont un remerciement pour cet instant d’extase retrouvée. Avant le repas David va au bar et rencontre l’homme seul en train de boire un verre. Ils se saluent et naturellement David se présente comme le mari de Johanna : ...

... — Vous savez la femme que vous voyez au hammam. L’homme s’appelle "Har" et sa femme "Betje". Har lui demande : — Vous avez aimé le hammam tout à l’heure ?— En réalité je me suis décidé trop tard et ma femme est revenue avant.— Non, je voulais dire ce que vous avez vu.— Je ne comprends pas.— J’ai remarqué que vous regardiez par le hublot et je pensais que vous alliez nous rejoindre. Le spectacle ne vous a pas plu ?— C’est-à-dire… David est embarrassé, il ne sait pas quoi répondre. Il ne veut pas passer pour un voyeur, mais comment expliquer que c’est la première fois ? — Oh, je comprends. Vous vouliez être seuls. Vous ne vouliez pas que je…— Non, non. C’était très bien. C’est juste que jamais, ni moi, ni ma femme, n’avons eu une telle expérience.— Quel dommage ! Betje et moi pratiquons cela depuis plusieurs années et vraiment c’est très bon. Vraiment c’est dommage, je suis sûr que Johanna serait partante. Vous ne pensez pas ? Et vous ?— Peut-être, peut-être. Il faut voir. Sur ces propos, Betje arrive. Son mari lui explique, en hollandais, enfin c’est ce que croit comprendre David, par les regards et les sourires qu’elle lui jette. — Har a raison, vous devriez essayer.— Certainement, mais je préfère suivre les intentions de ma femme. Nous verrons demain. Mais s’il vous plaît, ne lui dites pas que je suis au courant. Je veux que cela vienne d’elle. Et ils se quittent. David me dira que le lendemain Johanna qui, d’habitude se traîne toujours un peu lorsque les chemins montent, a ...