1. Deux couguars s'occupent du jeune mâle dominant. 4


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Deux couguars pour un jeune mâle. - Pitié ! Arrête, je n’en peux plus, tu me tues, tu as gagné ! Il arrête enfin cette cavalcade effrénée et se retire de mon fondement me laissant complètement exsangue sur le lit. Il est à coté de moi, sur le dos, sa respiration est sifflante mais sa formidable lance, toujours aussi vaillante, n’a toujours pas lâché sa liqueur. Christine, ne perdant pas le Nord, repasse aussitôt à l’attaque : -Détends-toi brave chevalier, laisse dame Christine s’occuper de ta lance ! Suite. Sa bouche glisse sur le corps de Claude, le couvrant de baisers avant d’arriver à l’objet du désir, cette exceptionnelle queue toujours en pleine érection, bien décalottée. Elle excite la grosse veine avec ses ongles, puis engloutit le gland trigonocéphale dans sa bouche. Je n’en reviens toujours pas du calibre de ce garçon. Elle conserve la hampe en bouche pendant que ses deux mains s’activent frénétiquement sur la hampe mais il ne jouit toujours pas. Il a enfin reprit son souffle et décide de reprendre l’initiative en repoussant Christine et s’adresse à moi. -Paule, mets-toi sur le dos et laisse ta tête pendre dans le vide ! Comme une groupie folle de son idole, je me mets dans la position demandée. Je me surprends moi-même, j’ai l’habitude de faire faire mes quatre volontés à mes amants, et là, ce petit morveux me donne des ordres et j’obéis sans me rebeller… Il se relève et vient présenter sa verge devant ma bouche, posant une main pour soutenir ma tête et l’autre ...
    ... sous ma mâchoire. -Je ne te lâcherai pas tant que tu ne réussiras-pas ! Que veut-il dire par là ? Il commence à me baiser la bouche, poussant toujours plus loin. Je hoquète, crache une bave épaisse, ai des hauts-le cœur mais rien n’y fait. Il s’obstine. C’est atroce quand je sens cette énorme banane passer ma luette et glisser dans ma trachée. J’ai envie de vomir. Il me laisse respirer à peine avant de recommencer. J’ai posé ma main sur mon cou qui enfle quand son braquemart le déforme sous une poussée toujours plus profonde. Je suis prête de m’évanouir quand mon nez touche ses fesses. Par un énorme sursaut, je réussis à expulser le chibre qui encombre mes bronches et me penche pour vomir de la bile. Il me force à m’étendre à nouveau et se branle quelques secondes avant d’éjaculer. Des jets d’une puissance folle zèbrent l’atmosphère avant de s’abattre sur mon corps. Je suis couverte de foutre, j’en ai partout, sur la poitrine, sur le ventre, le pubis et même sur les jambes. Je sens ses couilles enfin vides reposant sur mon front, il se recule enfin, se laisse tomber à coté de moi et ferme les yeux. Après tant d’agapes, nous nous retrouvons dans le jacuzzi pour se détendre un peu après une douche rapide. Pour la première fois de la journée, nous voyons enfin son sexe au repos. Je ne sais pas pour vous mesdames quand vous regardez vos compagnons mais quand il est debout, sa verge au repos arrive à mi-cuisse si ce n’est plus bas. Nous faisons plus ample connaissance avec lui. La ...
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