La petite robe rouge - 5 - Histoires de Sexe

La petite robe rouge - 5

... naturellement » dans l’antre de Marie. Un tout petit va-et-vient suffit. Marie est trempée. Toujours endormie, elle commence cependant à onduler. Aurélie ose un deuxième, puis un troisième doigt. Par réflexe, Marie écarte un peu plus ses cuisses. Aurélie laisse ses doigts mais ne bouge plus. C’est maintenant une Marie endormie qui bouge seule, plantée sur les doigts d’Aurélie. Aurélie est excitée par le spectacle. Elle ne peut s’empêcher de se caresser avec sa main libre. Ses soupirs se mêlent aux gémissements de Marie. Dans son sommeil, Marie gémit, se cambre en murmurant « Jack, encore ! ». Aurélie sent les contractions du vagin de Marie, qui exprime sa jouissance dans un long soupir. Elle a juste le temps de retirer ses doigts avant que Marie, toujours endormie, ne se retourne, exhibant l’autre côté de son corps. Aurélie, prudente, reste immobile quelques instants. Puis elle reprend l’appareil photo et mitraille le joli corps endormi. Elle glisse l’appareil dans son sac puis s’allonge sagement à côté de Marie. Avant de s’endormir, elle pense :« Il va être content de mon travail, Jack. » —ooOoo— Quand Marie s’éveille, la matinée est bien avancée. Elle est seule dans la chambre. Aurélie n’est plus là. Elle hésite à regagner la chambre qu’elle occupait avec Pierre. Elle préfère se doucher ici et elle sort ensuite enveloppée dans un peignoir éponge. Elle entend des voix sur la terrasse. Laurent, Aurélie et Jack sont là. — Ah ! Voilà notre Marie.— Tu as bien dormi ?— Oui. Très ...

... bien. Je me suis endormie comme une masse. Merci pour le massage, Aurélie.— Mais de rien. Ce fut un plaisir…— Euh… et… vous… vous avez vu Pierre ? Après un bref silence, c’est Jack, un peu gêné, qui prend la parole. — Écoute, Marie, Sam est parti le ramener à votre hôtel il y a une heure.— Tu vois, Aurélie, j’avais… Marie n’a pas la force de finir sa phrase. Son regard s’embue de larmes. — Allez, ne t’inquiète pas, ça va s’arranger. On va tout faire pour ça. N’est-ce pas, Jack ?— Mais oui. Fais-moi confiance. Laisse-le mariner un peu, et ensuite « tonton Jack » s’en occupera personnellement.— C’est gentil, mais… que comptes-tu faire ?— Surprise. Fais-moi confiance. OK ?— OK.— Tu as vu le beau bateau à l’horizon ?— Oui, il est grand. C’est Igor ?— Exactement. Il va être à quai d’ici une heure environ. Alors, file vite te préparer.— D’accord ; je file.— Et mets ta jolie robe rouge, et aussi… Marie, j’aimerais bien te voir avec le beau collier de coquillages qu’on a trouvé sur l’île. Marie se retourne. Elle croise le regard de Jack. Elle comprend vite que ce regard lui rappelle sa promesse faite sur l’île. Sa promesse d’obéir. Marie monte dans sa chambre avec en tête le départ de son mari et la demande de Jack. Elle fait glisser son peignoir et aperçoit sur le lit une enveloppe avec « Pour Marie » inscrit dessus. Elle a reconnu l’écriture de Pierre. Elle déchire nerveusement l’enveloppe pour l’ouvrir. Elle en sort un petit mot qu’elle lit, tremblante, assise sur le lit : Marie ...