1. Chaleurs d'Algérie


    Datte: 19/01/2020, Catégories: f, h, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné,

    ... Je ne pouvais empêcher quelques gémissements de plaisir. Après la petite aventure excitante précédente je n’avais même pas besoin de regarder de vidéos ou de photos, mon imagination et le souvenir tout frais de ma colocataire faisaient tout le travail. Je me voyais pénétrant sa bouche d’abord du bout du gland puis de plus en plus profondément jusqu’à faire totalement disparaître ma queue. Elle avait un côté prude qui m’excitait énormément et je la soupçonnais de bien des envies qu’elle ne s’avouait sûrement pas. Je me demandais d’ailleurs si elle ne faisait pas exprès de laisser sa porte ouverte quand elle dormait et souvent elle se promenait avec sa robe de nuit traditionnelle nue en dessous. J’avais plusieurs fois réussi à apercevoir le début de ses seins en regardant sous ses aisselles lorsqu’elle levait un bras et même ses magnifiques fesses un peu larges et très rebondies alors qu’elle était allongée sur le ventre sur son lit et que je passais derrière elle. Ce jour-là j’avais eu une très forte envie de lui pénétrer le petit trou sans lui demander, je m’étais réfugié dans ma chambre pour une masturbation rapide et frénétique, silencieuse, debout, le pantalon baissé sur les genoux et une éjaculation sur le carrelage. J’avais maintenant bien entamé mon petit plaisir et l’excitation était bien montée. J’étais allongé sur le lit les jambes écartées, mon sexe dans une main pendant que mon autre main venait caresser mon anus et y enfoncer un doigt mouillé pour augmenter ...
    ... l’excitation. Cette main baladeuse venait parfois appuyer sous mes testicules pour augmenter le plaisir. Je jetais un coup d’œil parfois par les volets de la porte-fenêtre entrouverts. J’avais envie d’être surpris. Soudain mon regard fût accroché par un mouvement de l’autre côté de la rue. Mon imagination devait sûrement me jouer des tours mais j’avais l’impression qu’un regard s’était posé sur moi l’espace d’un instant puis avait disparu. Je me levais, le chibre brûlant et dur dans une main et poussais discrètement le volet un peu plus. Les fenêtres d’en face étaient vides. Personne chez les voisins. Je ne contrôlais plus mon imagination. Je restais quand même devant la fenêtre et m’imaginais être regardé par une jolie Algérienne se caressant cachée derrière une fenêtre. J’étais très proche de la jouissance maintenant. Je sentais la sève au pied de l’arbre qui avait envie de monter pour exploser au bout de mon gland. Mais cette fois je ne rêvais pas, je voyais la voisine cachée entre deux volets qui me regardait intensément, la bouche entrouverte. Elle se masturbait avec un sérieux militaire. Je serrais très fort ma queue pour ne pas éjaculer tout de suite, la pression était forte. J’avais envie de traverser la rue en courant pour venir baiser cette inconnue. Impossible. On devait se résigner tous les deux à se regarder et à se faire jouir chacun chez soi. Quelle frustration et en même temps quelle perversité, quelle excitation. Je savais que cette femme brune avec ses gros seins ...