1. Je fais la salope au sex-shop (1)


    Datte: 20/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... que de m’arrêter je gémis bruyamment. J’ai envie d’exciter les gens ici-bas... Cela frappe de nouveau avec insistance... Je sors le gode, je le mets dans mon sac et j’ouvre le loquet sans ouvrir. La poignée s’abaisse et la porte s’ouvre, un homme glisse sa tête par l’ouverture. Il me regarde de la tête aux pieds et me demande poliment s’il peut entrer. Sans dire un mot j’acquiesce et il pénètre dans ma cabine et referme derrière lui. Il doit avoir 20 ans de plus que moi au minimum. Il est chauve et paraît timide. Il porte des lunettes avec des verres épais, une silhouette classique. Il n’ose pas croiser mon regard et malgré le fait que ce soit la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation, je sens que je vais devoir mener un peu l’entretien. Je me tourne pour qu’il puisse voir mon cul encadré dans la dentelle blanche, je me cambre et il en profite pour me saisir les fesses à pleines mains. Il me caresse comme je le ferais avec une femme. Je me sens femelle, salope, et désirée et c’est très agréable. J’écarte un peu les jambes et il me caresse l’intérieur des cuisses, il remonte jusqu’à mes couilles puis glisse un doigt entre mes fesses et constate que mon cul est lubrifié à mort... — J’ai envie que tu me prennes ! — Moi aussi, mais je ne bande pas. Aussitôt je me tourne je le débraguette et sors sa queue de son slip. J’ai cette queue devant le visage. Je me suis enfilé plein d’objets, j’en ai sucé beaucoup mais depuis mes jeux d’adolescents entre copains ...
    ... je n’ai jamais sucé une bite. Mais la question ne se pose même pas, je l’engouffre. Je suis surpris par la douceur de sa peau. Je m’applique à bien aspirer cette pine molle d’une dizaine de centimètres. Je la sens gonfler et prendre du volume dans ma bouche. J’essaie de le sucer jusqu’à la base mais cela devient difficile avec le volume et la rigidité qu’elle prend. Le faire bander ainsi m’excite encore plus : je le veux dans mon cul ! J’attrape dans mon sac une capote et je lui enfile, son érection est moins dure que la mienne mais il bande assez. Je me retourne et me mets à quatre pattes sur la banquette j’ai les cuisses très ouvertes et je suis cambré à mort pour faciliter la pénétration. Il pose son gland sur mon cul et je sens la chaleur de sa bite. C’est une chaleur bien plus agréable que tous les objets qui sont venus jusqu’ici contre mon cul. Il donne de grands coups de reins mais je ne le sens pas entrer en moi. Je pose ma joue contre le mur et de mes deux mains je tente d’ouvrir encore plus mon cul. Je sens sa queue fléchir contre mon cul et quand je me retourne je constate qu’elle a bien ramolli. Je m’assoie de nouveau face à lui et je reprends une bonne pipe. Il m’arrête en me tenant la tête, — Excuse-moi, mais je viens de jouir. Il y a une femme dans la cabine à côté qui s’est fait baiser par tout le monde et je ne pourrais pas rebander tout de suite, j’aurai bien aimé pourtant crois-moi. Il referme son pantalon avec la capote toujours sur sa queue et sort à la ...