1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (2)


    Datte: 20/01/2020, Catégories: Transexuels

    Salut c’est votre folle de lycra Après avoir relu ma première histoire, je tenais à m’excuser pour toutes les diverses fautes que j’ai pu y voir . Voilà quelques temps je vous racontais dans le premier chapitre, comment en travaillant dans l’habillement je m’étais retrouvé dominé par ma patronne Patricia qui m’avait surpris avec des dessous féminins que je portais sur moi. Je me suis retrouvé dans son bureau obligé à lui faire une toilette intime en échange de son silence. Au fur et à mesure des soirées j’ai commencé à prendre l’habitude de lui brouter son minou puis elle a décidé que désormais je porterai des escarpins après le boulot dans son bureau, heures supplémentaires facturées... À chaque fois qu’elle prenait une décision, je ne pouvais que la valider tellement j’avais peur qu’elle dévoile mon secret à tous mes collègues. Au bout de plusieurs mois, j’ai eu le droit à une fellation de sa part, une fellation d’anthologie, une fellation comme seules les expertes savent les faire. Pour les un an de notre relation extraconjugale, elle a décidé que nous irions en formation et que pour l’occasion j’aurais le droit à un plug télécommandé dans mon petit cul. Je me suis retrouvé à sa merci deux jours durant et je peux vous garantir qu’elle ne s’est pas privée de me consommer. Elle savait que j’adorais les dessous, mais là elle a poussé le vice jusqu’à me déguiser en femme dans notre chambre d’hôtel, elle avait tout apporté pour cela. C’était plus fort que moi, sentir se gode ...
    ... dans mon petit trou me faisait un bien fou et plus encore quand Patricia le faisait vibrer. Pour la première fois en un an de relation ce soir-là j’ai eu le droit de la pénétrer pour mon plus grand plaisir et le sien manifestement. Je reconnais que ma femme était un bon coup mais Patricia était quand même une classe au-dessus, au lit. Maintenant ses jambes étaient posées sur mes avant-bras et mon sexe était en train de savourer l’étroit accès de son vagin. Pendant que je commençais à bien coulisser en elle, j’avais la sensation d’avoir un rapport sexuel avec une pucelle. Par-dessus ça, de temps à autre, il lui arrivait de contracter son vagin et là je ne vous raconte pas les sensations. À chaque fois que je donnais un coup de rein, je sentais l’arrière de ma robe qui venait taper sur l’arrière de mes cuisses; même la douceur de ça me faisait de l’effet. Il n’y a pas à dire Patricia aimait faire l’amour, c’est vrai que quelque part elle faisait du chantage avec moi mais honnêtement cela ne me déplaisait pas. En même temps, je ne sais pas si je l’aurais fait, si cela n’avait pas été sous la contrainte, je suis tellement fou amoureux de ma femme Élodie. Maintenant Patricia me plantait ses ongles dans les fesses et un peu dans le dos, cela me contrariait car j’avais peur que mon épouse s’en rende compte. Je pense que cela ne doit pas être évident à justifier auprès de sa femme que d’avoir des traces d’ongles dans le dos. En fait elle ne me griffait pas, elle plantait ses ongles ...
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