1. Rêve... 3... revisité


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Rêve revisité Sur le chemin du retour, dès les premiers ronronnements du moteur ma cavalière s’endort. Peut-être oubliera-t-elle mon double accouplement avec Yolande sur le capot de l’auto.Et tout à coup Marie se réveille et me demande de m’arrêter. J’emprunte une allée forestière sur le côté de la route, stoppe. Marie demande mon aide pour sortir de la voiture. Il est temps, un flot jaillit de ses lèvres, tombe dans l’herbe et déborde sur la magnifique robe. Marie hoquette, s’accroche à mon bras, annonce sa mort prochaine. Je la soutiens pendant qu’elle expulse le trop plein et se laisse aller. Que faire ? J’ai un paquet de mouchoirs en papier. À la lueur des phares je nettoie le visage tout pâle, les mains souillées et l’avant de la robe. -Alex, allonge-moi sur la banquette arrière, j’ai froid. - Je vais vite te ramener chez toi. Tu boiras un café noir salé; ça passera. - Pas tout de suite, pas dans cet état. Ma mère va crier au scandale, me traiter de fille soule digne de son ivrogne de père et mes parents vont se disputer. Laisse-moi me reposer un instant. Sitôt recouchée elle se rendort. Dans mon coffre il y a un plaid pour pique-nique. J’en fais une couverture. Et assis au volant, portes bouclées j’attends. C’est drôle, Marie ronfle. De temps à autre, elle marmonne mon prénom « Alex » et continue à dormir. Elle s’agite, tourne et se retourne, geint, rit ou pleure dans son sommeil. Elle va prendre froid, elle s’est découverte. J’ouvre sa portière. Le plaid est tombé, la ...
    ... robe est remontée, elle est couchée sur le dos, une jambe contre le dossier, l’autre pend à côté du siège sur le plaid. Au clair de lune dans l’entrecuisse la tache blanche de sa culotte attire mon regard. Tout le bas de son corps est exposé. Car le string a glissé dans le pli de l’aine, entre tronc et cuisse, et apparaît à la pâle lueur de la lune l’abricot joli que je convoite.J’admire. J’admire le fuseau de la cuisse, le creux en haut, à l’intérieur, où niche habituellement le sexe adorable. J’appelle : - Marie. Elle ne répond pas. Fatigue, stress et boisson ont uni leurs forces pour la livrer à un sommeil profond. Je pourrais toucher, caresser, elle n’en saurait rien. Elle ronfle. Alors je regarde de plus près ces chairs tièdes. Je caresserais volontiers la peau douce à l’approche de la jointure des deux jambes. « Marie. » Pas de réponse. Un démon me pousse à profiter, je veux voir le trésor, le sexe qui un jour m’appartiendra découvert par la bande de coton légèrement humide de la transpiration de la danse. C’est une petite femme, elle a dû connaître des émotions elle aussi au contact des membres virils avec son ventre, il y a sans doute dans l’humidité des traces de mouille. Dans mon pantalon grandit une vague de désir. Si mon doigt dégageait la vulve, la parcourait, la touchait à peine, je pourrais déposer un baiser sur les grandes lèvres, je pourrais savoir si elle est vierge. Un grognement sourd puis de nouveau la respiration régulière. J’approche mes yeux pour mieux ...
«1234»