1. BEUR GAY


    Datte: 20/01/2020, Catégories: Gay Sexe Interracial,

    ... belle et bonne je la veux»Icham m'invite à me redresser et me fait pencher au dessus de la machine à laver. Il enduit mes fesses de salive , et commence à me doigter fermement. Mon cul s'écarte sous ses doigts fureteurs. Je cambre mes reins pour lui offrir mon intimité. On sort le gel, je m'en enduit les parois. Il vient positionner très vite son sexe capoté sur mon trou. La tache va être délicate. J'écarte mes deux fesses de chaque main. Il commence à entrer en poussant en douceur. Je me sens écarté, c'est vraiment l'impression que l'on va me déchirer. Je cambre davantage, je pousse un max pour l'aider à progresser. Et petit à petit il gagne du terrain en de petits cadencements d'avant en arrière. Icham est doux et précautionneux. Il chope mon sexe par en dessous et me branle. Et son sexe entre davantage en moi, et cette sensation de déchirement disparaît. Il n'est pas entré entièrement. Mais moi je suis affalé sur la machine à laver, et il me bourre le cul. Je suis venu pour cela de toutes façons et j'y prends du plaisir. Comme il ne me possède pas entièrement. Il ressort et me fais basculer contre le mur couvert de carrelage sur la gauche. Et il me plaque en me faisant écarter les jambes.«Il est trop bon ton cul, mais tu es très serré» me lâche t-il. Et il revient dans mon trou et choppe ma queue qu'il branle avec vigueur par en dessous mes fesses. Il branle bien, vite et ferme. Et l'action sur ma queue fait que mon cul ...
    ... s'ouvre davantage. Il me lime et je sens bien passer son calibre. Mais ses couilles ne battront pas mes fesses. La largeur de son zob, l’empêche de pénétrer davantage. Dommage, mais mon cul n'en peut plus. Il m'a éclatée la chatte. Icham se dégage et att**** sa queue qu'il branle. Je me retourne et me branle également. «Je ne vais pas tarder» me dit-il. Juste le temps de m'accroupir , un premier jet passe par dessus mon oreille, sa main s'active toujours, je rate le second, mais je gobe son gland et c'est une large rasade de crème que je reçois en bouche. Une bonne liqueur de couilles. Épaisse et suave, je déguste, ma langue évite d’être trop pressante, car je connais la sensation désagréable que cela peut provoquer après la jouissance. Je m'écarte à regret et me relève pour à mon tour m'astiquer le jonc. Icham n'a pas cessé ses mouvements de poignet, sur son propre sexe, mais ils sont moins amples, plus mesurés. Et je sens le jus monter, et me submerger. Je suis haletant, je ralenti le mouvement pour faire retomber la pression puis repars de plus belle, et là c'est l'apothéose, je me délivre et lance quatre à cinq jets. Pour Icham le jet était plus long et continu. Ces derniers vont s'écraser sur le sol de la salle de bain. Je suis vidé. Icham aussi apparemment. Je regarde mon image dans le miroir en me penchant au dessus du lavabo pour me nettoyer. Je suis écarlate. Méconnaissable. La salope qui sommeille en moi est comblée. 
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