Faster
Datte: 21/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
attache,
BDSM / Fétichisme
fouetfesse,
aventure,
... surprendre quelques-uns… — En attendant, Jessica, tu en as assez vu. Bonne nuit… Joignant le geste à la parole, je lui colle un bandeau sur les yeux. Encore une fois, cela fait régulièrement partie des mises en scène de ces jeux pour adultes consentants. Quand on voit un coup arriver, l’on a le temps de s’y préparer en bandant les muscles de la zone concernée et adoptant une position susceptible de minimiser la douleur… Mais quand on n’a pas la moindre idée de là où il va tomber, la surprise est totale et la douleur maximale ! Pour accentuer son trouble, elle m’a vu reprendre le martinet que je promène négligemment sur son corps et particulièrement sur ses zones sensibles. Que ce soit le bout de ses seins ou les replis de sa vulve, tout cela se colore d’un rouge sombre qui en dit bien plus que tous les longs discours : elle a peur, elle appréhende ce qui va se passer, mais en même temps tout son être le souhaite. Qui a dit que les humains étaient tous de grands malades ? Eh bien, ma cocotte, tu n’as pas idée de ce qui t’attend ! Après avoir posé le fameux martinet sur son nombril, j’empoigne ses seins sans douceur et commence à les malaxer bien plus que les pétrir. Insistant sur ces mamelons que je m’amuse à faire rouler et étirer entre mes doigts, alternant plaisir et douleur, je parviens bien vite à mon but et la voilà qui commence à se tortiller tout en poussant de petits cris. Faire durer le plaisir, la faire languir de mes caresses, certes, mais point trop s’en faut… ...
... Elle ne le voit pas, elle ne le sait pas, mais je viens de m’agenouiller entre ses cuisses. Entre le pouce et l’index, j’attrape alors les nymphes de son sexe et, sans autre forme de procès, les écarte vivement. L’expérience a beau être là et les années être passées, je ne me lasse jamais de regarder ce trou béant qui palpite toujours dans ces situations-là… Et encore moins de ce petit organe qui, extirpé de sa tanière, frétille à n’en plus finir dans un ruisseau de mouille. Quelques instants encore pour ajouter encore à son tourment, et j’y colle ma bouche. Sa liqueur intime est délicieusement salée, douce et acre à la fois… Je lèche, suce, mordille tout ce qui passe à ma portée, tandis que ma langue vient s’enfoncer au plus profond d’elle-même. Je savais qu’elle réagirait, mais sans doute pas aussi rapidement et surtout aussi sauvagement. Son bassin devient très vite incontrôlable, au point qu’il me devient difficile de continuer mon travail de sape et, sans l’avoir prévu, je l’entends partir de nouveau pour une longue jouissance. Celle-ci n’est sans doute pas aussi violente que la première, mais elle n’empêche pas Jessica de mordre férocement dans la boule qui barre toujours sa bouche et étouffe presque totalement ses cris… Enfin, la tempête se calme, son souffle redevient enfin régulier. J’en profite pour lui ôter son bandeau, le regard qu’elle me lance alors est un mélange de reconnaissance et d’incrédulité… Je décide de l’ignorer ouvertement. — Tu n’es pas encore au bout ...