Dans ses yeux
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
fh,
gros(ses),
amour,
Oral
pénétratio,
attache,
fantastiqu,
amourdram,
... silicone, solidement arrimé par la corde. Celle-ci lui sciait inconfortablement la peau, cisaillant ses bourrelets autour de sa taille comme autant de ficelles autour d’un rôti de porc. Éric avait désormais les mains libres, et bandait de plus belle, contemplant le tableau qu’elle offrait, attachée de toutes parts, le godemichet profondément planté en elle et ne bougeant plus grâce à la corde, telle une vénus pourfendue par les fantasmes d’une immonde bête lubrique. Il alla saisir son téléphone et prit quelques photos, sous l’œil aux aguets de Cassie. La jeune femme se contentait d’assister en silence aux délires vicieux de son amant. La présence de l’énorme sexe toujours cloué dans son vagin était presque douloureuse, devenait insupportable. Elle ne savait plus si elle devait remuer pour jouir encore, ou si elle devait crier qu’on lui enlève ce manche insolemment dur et gigantesque. L’objet en question prenait tellement de place dans sa grotte intime et déformée par ses dimensions exceptionnelles, que Cassie avait la sensation de n’avoir jamais été aussi pleine de sa vie, même après un repas gargantuesque. — Éric, souffla-t-elle seulement. Son amant paraissait effectivement avoir bien du mal à reprendre ses esprits. La respiration courte, il chercha quelque chose dans ses affaires, puis accourut auprès d’elle, un flacon à la main. Cassie l’observa tandis qu’il se penchait entre ses cuisses. Elle sentit un liquide froid couler agréablement du haut de son pubis jusqu’au bas ...
... de sa fente, ayant de toute évidence glissé autour du pieu de silicone, et gouttant jusqu’à son anus. Le liquide s’échauffa immédiatement au contact de ses muqueuses survoltées. Éric trempa trois doigts dans l’épais lubrifiant, et caressa, massa, pénétra longuement l’ouverture bordée de poils de la fente féminine, toujours déformée par l’intrusion du submersible. Cassie frémissait au rythme du massage, elle n’était plus qu’un corps, sans réflexion, un corps obéissant aux moindres désirs de son maître. Un corps nu lacéré, écartelé, soumis. Telle une potion magique, le lubrifiant provoqua l’effet escompté par Éric, détendant les chairs dilatées, échauffant les miettes de désir jusqu’à ce qu’elles se muent à nouveau en un brasier inassouvi. Cassie jouit une deuxième fois, puis une troisième, lorsque Éric pénétra également son anus lubrifié de deux doigts experts. Toute cette folie avait bien duré une heure et demie, et enfin, Éric se libéra de son démon pulsionnel, s’étant frénétiquement masturbé au-dessus de sa maîtresse complètement groggy de plaisir. Le sperme jaillit et gicla sur le ventre strié de cordes de Cassie. Celle-ci n’émit pas un son, trop épuisée par ses orgasmes successifs pour réagir. Émergeant péniblement des limbes de son extase, Éric la délivra enfin de son sceptre de silicone et de ses attaches, puis se laissa tomber à ses côtés sur le lit. Ils se mirent à ronfler comme des bienheureux. À leur réveil, la nuit était tombée. La petite chambre baignait dans la ...