1. Dans ses yeux


    Datte: 22/01/2020, Catégories: fh, gros(ses), amour, Oral pénétratio, attache, fantastiqu, amourdram,

    ... demi-sourire, qu’il effaça presque aussitôt de son visage, se traitant mentalement d’imbécile. On n’avait pas idée de se comporter comme un adolescent en rut devant un joli sourire de femme ! Et quelle femme ! songea encore Philippe en précédant Cassie dans les couloirs qui menaient à son antre. La grosse et peu sympathique Cassie ressemblait désormais à Vénus, tout en hanche et en seins et en cul… — Entrez, Cassie, se reprit Philippe, retrouvant péniblement un timbre de voix alerte et naturellement autoritaire de tout chef qui se respecte. Installez-vous. Comme tous les entretiens de ce genre, cette discussion est confidentielle, aussi ne vous étonnez pas des stores baissés. Les bruits de couloirs dans cette entreprise ! Une vraie plaie ! Pas plus tard qu’hier, et pour la énième fois, par exemple, on est venu se plaindre de vous. Non, non, restez assise, je vous en prie.— Mais enfin Monsieur Courtin, s’étrangla à moitié Cassie, je ne comprends pas, on remet en cause mon travail ?— Non, pas votre travail, déclara Philippe, et son regard s’appesantit sur ses seins, intensément moulés dans une chemise de soie pourpre.— Je ne comprends pas, répéta Cassie. En réalité, la jeune femme n’avait pas perdu une miette du rayon laser qui venait de passer au crible sa poitrine. Il semblerait que sa nouvelle silhouette soit devenue un sérieux atout à son travail. La jeune femme se sentait émotionnellement bousculée, animée d’une sensiblerie certaine, à la fois révoltée que des collègues se ...
    ... soient permis de la salir auprès du chef, et très flattée du soudain dialogue muet que Philippe Courtin entretenait avec ses gros seins. Quand elle raconterait ça à Éric… — Eh bien, continua Philippe, c’est assez délicat, et j’ai longtemps repoussé cet entretien avec vous pour cette raison. Il paraîtrait… que vous gênez vos collègues. Cassie se contenta de fixer son patron, réprobatrice. — Oui, euh… comment dire… ça me paraît tout à fait déplacé, aujourd’hui que je vous contemple, expliqua Philippe. Vous aviez l’air… si… triste et… fade… voilà, fade. Que vous déprimiez vos collègues. Et euh… ils n’avaient plus le cœur à travailler quand ils vous regardaient… Bon sang, c’est n’importe quoi. Les yeux luisants, Cassie resta silencieuse, les narines pincées par la rage. Philippe prit une mine contrite. — Excusez-moi mademoiselle, j’ai parfaitement conscience de proférer des obscénités depuis quelques minutes. Il suffit de vous regarder, mon Dieu, c’est n’importe quoi, vous êtes belle comme le jour, vous rayonnez, je n’ai jamais vu cela. Quel est votre secret ? Quand vous ai-je vue pour la dernière fois, bon sang, vous avez tellement changé, c’est incroyable ! Interloquée, Cassie regarda Philippe Courtin se lever brutalement de sa chaise de bureau et venir se jeter à ses pieds. Il leva vers elle un visage bouleversé, et timidement effleura ses genoux ronds et gainés d’un collant transparent qui brillait aux rayons du soleil. — Cassie, reprit son chef avec ferveur, ses grands yeux ...
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