1. Je veux lui avouer


    Datte: 18/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... joues, plisse les yeux et n'inhalent pas la fumée me laissant la joie de venir rejoindre ses lèvres maintenant occupés à me chercher lorsque nos langues sont en train de s'accoupler. Je suis à la limite et heureusement qu'elle doit écraser sa cigarette dans le cendrier qu'elle repose sur la table de nuit. A quatre pattes je la vois déposer le cendrier, sans réellement penser ou contrôler quelque chose, tel une bête je me suis jeté sur elle, tel un lapin en période de reproduction, à la vitesse d'un lévrier en sprint, je l'ai pénétré ! Je l'ai entendu gémir, j'ai entendu le bruit de nos corps s'entre choquaient, serré un de ses seins, l'autre témoignait de la violence de notre ébat tant il définissait la puissance des coups de reins que je prodiguais a ma femme. Elle gémissait comme jamais, proche de l'orgasme je du m'arrêter, ralentissant je le crois aussi son orgasme à son grand regret. Lentement elle vient me chercher, reculant ses fesses afin de m'attraper. Finalement libérer de l'emprise de sa vulve je m'affale sur le lit lui laissant le gouverneur. Peu lui faut pour qu'elle s'empare sur moi ondulant au ...
    ... rythme des vagues, vagues tourbillonnantes, chaudes et confortable, le calme avant la tempête ! Les mains sur mon torse, une rapide chorégraphie buccale et la tempête se présente sous formes de gémissements, d'ondulations de hanches' de va et vient puissants ! Quelle divinité est-ce dont ! Elle saute comme jamais, se fatigue, l'orgasme et proche pour elle comme pour moi, la fin est proche et c'est moi qui ai l'honneur de nous prodiguer l'orgasme via des coups de reins rapide alors qu'elle prenait plus grand appui sur moi afin de me permettre une amplitude de mouvement plus grande. Ses lèvres suintent le plaisir chaud, ses lèvres m'étranglent par à coups, ma queue crie au feu, nos visages se crispent, je me force de ne pas fermer les yeux pour observer son plaisir à son paroxysme. Les yeux clos, les mains sur mon ventre le dos voûté, la bouche ouverte laissant gémissements éclore aux oreilles des voisins, la peau frissonnante, les hanches non contrôlés, titubantes, je libère moi aussi sous gémissements les puissants jets préparés par les tressautements de mon penis en son corps ! Elle s'est écroulée sur moi, essoufflée. 
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