Tante Gisèle, maman, et les autres... (15) - Histoires de Sexe

Tante Gisèle, maman, et les autres... (15)

Chapitre 15 : Blandine profite aussi de Dany. Il n’y a pas que le patron de Diane qui a assisté à la fellation de la mère à son fils. Quand Blandine a vu son patron faire demi-tour et suivre Dany dans les bureaux, elle a fait de même, d’instinct, et elle le suit discrètement. Lorsqu’elle a vu son patron entrer en catimini dans la réserve, elle a jeté un coup d’œil et elle a assisté, elle aussi, à cet acte incestueux de la part de sa collègue ! Une mère en train de sucer la bite de son grand garçon ! Impensable ! Sa meilleure amie est une salope incestueuse ! Mais en même temps, lorsque qu’elle voit la grande et magnifique queue du fils de Diane, elle a une grosse boule de chaleur dans son bas ventre et quand Dany éjacule sur la figure de sa mère, sa chatte est trempée à tel point que sa cyprine coule le long de ses cuisses. Lorsque Dany s’apprête à quitter la réserve, elle se précipite dehors pour l’attendre. Dany est surpris de la voir en sortant de l’immeuble et encore plus quand elle lui propose de le déposer chez lui. En cours de route il trouve Blandine assez excitée et quand elle lui demande de monter chez elle pour prendre un verre, c’est lui qui est excité d’autant que pendant le trajet, sa jupe remontée sur ses cuisses dévoilait largement sa peau claire parsemée de fine taches de rousseur. Blandine doit être rousse et probablement teindre ses cheveux en châtain mais les reflets roux doivent être naturels. Il imagine déjà sa touffe de poils pubiens si elle ne se rase ...

... pas. Sa bite commence à être à l’étroit dans son jeans. Dès qu’ils sont dans son appartement Blandine attaque, sans prendre de gant ! — Dis donc, mon cochon…Ta mère te suce seulement ta queue ou tu la baises aussi ? Surpris, Dany sursaute et ne sais quoi répondre d’autant que Blandine enchaîne. — Sort là de ton pantalon que je vérifie de plus près si elle est aussi belle que lorsque je l’ai aperçue de loin avant qu’elle ne disparaisse dans la bouche de ta maman. Il n’a pas besoin de le faire lui-même car Blandine est déjà à genoux devant lui et dégrafe son pantalon pour le baisser en entraînant en même temps son slip accroché à sa bite qui rebondit en l’air, comme propulsée par un ressort, lorsqu’elle tire dessus. — Whaou ! Quelle queue ! Incroyable ! Je commence à comprendre ta maman ! Suis-moi ! Me traînant par la queue, je me retrouve sur son lit complétement nu et elle aussi. Cette femme est magnifique et effectivement c’est une rousse ! Sa chatte est comme un soleil qui se couche le soir avec sa toison d’un rouge flamboyant, très joliment taillée, ne laissant qu’une fine épaisseur de poils autour de sa chatte. Extraordinaire ! Blandine me regarde en souriant et me dit. — Et bien dis donc…on dirait que tu n’as jamais vu de chatte ! J’émerge de ma contemplation et j’arrive à balbutier. — Si…mais…mais la tienne est magnifique ! — Tant mieux ! Mais toi tu as une queue hors norme et je vais commencer par explorer ton anatomie. Elle me pousse en arrière et à plat ventre entre ...