1. Labourage et tripotage


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fhhh, hagé, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio,

    ... ma partenaire : m’allongeant sur son dos, j’ai empoigné un sein, tandis que de l’autre main je cherchais son clitoris. Lâchant sa bêche de la main droite, Lucie a guidé ma main à moi au bon endroit, m’indiquant le mouvement qu’elle désirait. Les frémissements de son vagin m’ont inspiré une autre initiative. Le sein que je pelotais de ma main gauche était lourd et plein, le téton érigé était dur et rugueux et il suintait, sans doute encore un peu de lait. Le quittant à regret, je me suis redressé et j’ai passé mes doigts entre nous pour les mouiller. Puis du pouce je me suis mis à masser le tour de son anus. Sa respiration est devenue plus forte, sa main droite sur la mienne insistait, son clitoris était ferme et son anus s’assouplissait. Un moment, j’ai hésité à quitter le fourreau accueillant de son vagin trempé pour l’étreinte plus serrée de son cul, mais j’ai préféré pénétrer son boyau d’un doigt. Lucie a laissé échapper un cri bref et rauque. J’ai affermi la prise de mon bras droit, la plaquant contre moi de peur qu’on perde l’allure. Nos mouvements un instant désordonnés se sont harmonisés à nouveau. Lucie gémissait au rythme des contractions de son vagin, je tournais mon doigt dans son cul, je voulais tenir, prolonger le plaisir, mais je sentais monter mon excitation. Un cri perçant, une convulsion plus forte : Lucie jouissait de nouveau. Et je me suis mis à éjaculer très fort, à grands traits. À mesure que mes couilles se vidaient et que ma bite mollissait, je ...
    ... voulais ralentir, mais Lucie maintenait les pulsions de son bassin, voulait à tout prix continuer. Mâle typique qui tire un coup, se retire, puis se tire, j’avais fini, j’étais vidé, je n’assurais plus, mais Lucie avait atteint un plateau orgasmique, n’avait pas l’intention d’abandonner si tôt. Ma bite maintenant rétrécie perdue dans l’antre de son vagin béant, je me retrouvais penaud, et, c’est le cas de le dire, j’ai déconné. Mais la relève était là. — Excuses, mec. Chacun son tour… On m’écartait. Absorbé par ma fornication, je n’avais pas entendu arriver un troisième larron. Le petit Robert, c’est ainsi que nous l’appelions, était là, et même un peu là. Robert de son prénom, et petit de taille, le dos voûté, le cheveu rare, un sourire malicieux et un grand nez, il se tenait dans la porte, prêt à la tâche et outillé pour. On raconte que la grosseur du pénis est souvent en rapport avec la dimension du nez ou du pied. J’ai pu constater que pour Robert en tout cas, c’était vrai. Il arborait fièrement à l’horizontale un manche d’une bonne vingtaine de centimètres, couronné d’un gland large, débordant sur la hampe, aplati du bout, et très rouge. La Lucie couinait et tortillait du cul. Robert avança, comme si son gland était aimanté par cette fente baveuse. Sans regarder, prévenue par qui sait quel instinct, elle a fléchi les genoux. Robert s’est hissé sur la pointe des pieds. Doucement, son gros gland a écarté les lèvres vaginales, et toute la longueur de son engin est rentrée pour ...