Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
De retour de vacances 2014 très « chaudes», nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos, où Philippe m’offre à sept routiers en rut. La soirée a déjà été chaude et n’est pas encore terminée. Je sais bien alors que, pour les prochaines semaines, il va falloir être sage. Alors j’entends bien profiter au maximum de ce magnifique et inattendu cadeau de mon mari candauliste. M’OFFRIR, ENCORE ET ENCORE Marc revient vers moi. Depuis un moment, il a pris le contrôle de la soirée. Philippe, en connaisseur, se contente de mater, d’encourager et lui a donné les pleins pouvoirs. Il a compris que je suis en de bonnes mains. Marc me porte dans ses bras, m’amène sur la table, encadrée par les deux bancs. Il m’allonge, ouvre mes cuisses : il est indispensable que je reste offerte, disponible. • Bon, ma petite cochonne gourmande, tu vas encore être très gentille avec nous ?? Tu veux nous faire plaisir ? • Oui bien sûr, Marc, je veux bien ; • Alors c’est moi qui dirige, Philippe m’a dit que tu obéis très bien, il est d’accord pour qu’on te fasse tout. Il n’a mis qu’une seule condition : que tu prennes ton pied ! • C’est vrai, je cède si je me sens bien, tu voudrais quoi ? • Je dirige, tu fais, c’est tout. Mais tu fais tout, tout de suite, quand je le dis. Il paraît que ça te plaît, ce genre de situations. • D’accord, J’obéis. • Branle-toi salope, caresse-toi pour nous. Fais-toi jouir, écarte ta chatte grande, à 2 mains, montre-nous, je veux te voir te plier, t’entendre miauler ! J’adore ...
... me masturber en présence de mâles, je sais que ça les rend fous de désir. Je débute une branlette lascive, impudique, libidineuse, lubrique. Tous les sept sont assis sur les deux bancs, de chaque côté de la table. Philippe n’en perd pas une miette, fasciné par un spectacle qu’il connait pourtant si bien. Je titille mon clito, j’ouvre ma chatte à deux mains, je me caresse doucement, puis de plus en plus fort. Je m’offre en spectacle. Mes cuisses sont grandes ouvertes. Je suis offerte, impudique, avec ma main caressant sans relâche mon sexe. J’accélère, je me lâche, je me prends au jeu. Mes mains vibrent sur mon clitoris et de ma bouche sortaient des petits gémissements. Le silence règne, mes spectateurs matent mon corps et mes mouvements, en écoutant mon souffle. Je suis tendue à en exploser. Je resserre les cuisses. Mon corps se raidit. Je retiens mon souffle jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Je sais que je vais jouir. Je m’excite comme une folle sur mon sexe et j'entends les petits clapotis caractéristiques d'une forte excitation. Puis je jouis, je jouis, je jouis, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigue : • ouiiiiiiiii ! • Lèche-toi les doigts ! Mouille aussi ton petit trou, je veux qu’il glisse comme ta chatte... J’ai encore envie. J’obéis à Marc, à ses demandes. Je caresse mes seins, je les pince, chez moi c’est une des meilleures façons de m’exciter. Je me retourne sur le ventre, j’ouvre mon cul, me soulevant ...