La Course - Histoires de Sexe

La Course

... l’escalier de service. Dans un garde-manger, je me cache pour me reposer quelques instants et me remettre de cette dernière heure. Il est dix heures. Encore quatre heures de jeu. Et j’ai croisé quatre participantes sur cinq. Il ne me manque plus que Lise. Bien sûr, il vaut mieux que je méfie de Caroline. J’entends un bruit dans la pièce voisine. Il est onze heures. Voila une heure que je me repose. Je décide d’entrer par surprise dans la pièce voisine, qui est la cuisine. J’entre et vois Joël, en train de manger un bout. — Salut Joël !— Oh Oh Laurent ! Alors, bonne soirée ou quoi ?— Ouaip, pas mal, la mère et la fille sont particulièrement intéressantes…— Ah oui ? Tu les as croisées où ?— Au deuxième, avec Henri et Cathy. C’était assez sympa. Il y a à peu près une heure. Au fait, tu dois me passer un vêtement. T’inquiète pas, tu n’auras pas de gage avec moi.— Ouf, je commençais à avoir peur. Tiens, j’ai la nuisette de Lise. Moi, je ne porte plus rien. Elle est vraiment craquante, et je pense qu’il ne lui reste plus que son string rose… J’ai vu Caroline passer après moi.— OK, et Caroline tu l’as croisée ?— Ouaip, m’en parle pas ! C’est elle qui m’a mis à poil. Et ça pas été du gâteau, pendant trente minutes. Mais bon, c’est le jeu, et c’est une expérience intéressante. Mais fais gaffe !— Merci, je vais repartir à la chasse, à plus. Me voilà à la sortie du Manoir. Derrière, je m’enroule dans ma cape, mets la capuche et cours silencieusement vers le bois. Je me dirige vers la ...

... ferme, mais cette fois-ci en faisant un grand détour et en prenant le peine de faire plusieurs pauses pour vérifier que personne ne va me surprendre. Bien sûr, cette nouvelle course relance mon excitation et de penser à Caroline ou à Lise à ma merci m’incite à la prudence. Je fais d’abord le tour du bâtiment. Lentement, je me rapproche du bâtiment. Il s’agit d’une grange. J’aperçois une ombre. Non, il y en a deux. Je me rapproche. Visiblement, Mat vient de surprendre Lise à une trentaine de mètres de la grange, dans un petit renfoncement du terrain. Il se pense à l’abri des regards indiscrets. Mat est nu, et on peut voir son corps noir à travers l’ouverture de sa cape. Je l’entends en train de parler : — Bon, Lise, pas de chance, mais il me faut un vêtement…— Ok, bon, chaussures alors. Lise jette des coups d’œil timides sur le corps de Mat. — J’aurai préféré le string, mais je le laisse pour le dernier chanceux, dit Mat.— Qui te dit qu’il va y en avoir un ? Fais attention, Caroline est dans la grange, en bas. Il y a une pièce type donjon, dessous, dans une sorte de cave, et elle attend une proie.— Merci… Et il lui reste quoi, comme vêtement ?— Apparemment, elle en a beaucoup des autres, mais je crois, d’après ce que j’ai pu voir, qu’il lui reste sa culotte et la nuisette seulement.— Merci de l’info, à tout à l’heure !— Ça m’étonnerait… Mon sang ne fait qu’un tour et je reste caché dans l’ombre. Lise part vers le jardin. Un plan est possible pour piéger Caroline. Je surprends ...