La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 641)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... soumise n’était pas sans avoir ses propres problèmes, doublement pénétrée comme elle l’était, mais la concentration requise pour mener le cheval l’aidait à tenir les désirs de son corps en extases. Jusqu'à ce que le Marquis saisisse les rennes, n’en pouvant plus, et force le cheval à s’arrêter avec un hennissement de surprise. Brusquement, presque violemment, il poussa e46 et la plaqua contre la crinière de l’étalon. Debout sur ses étriers, les mains sur les hanches de la femme, il fit usage d’elle avec une vigueur qu’Aramis aurait bien compris. Fouetté, son érection prisonnière d’un cul étroit et chaud depuis trop longtemps, il laissa libre cours à sa passion. Dans l’anonymat d’un sous-bois ou pas même la lumière de la lune ne filtrait, L’esclave éleva sa voix, laissa au monde entier savoir le plaisir qu’elle ressentait par une jouissance à en tourner la tête. Ce puissant orgasme la prit donc, la secoua, tirant d’elle cris et gémissements, la puissance amplifiée par la résonance naturelle de l’écho Au même moment où la soumise explosait une nouvelle fois dans cet énième orgasme, le Marquis atteignit son point de non retour, et ses coups de reins devinrent brutaux. Il relâcha, éjacula profondément dans le cul de sa chienne d’esclave, copieusement, à grands jets de sperme à grands coups de reins. Il laissait échapper des ...
... râles puissants de plaisir. On aurait dit un cerf en rut en automne. De longs moments passèrent, le Noble la tenant plaquée, savourant le moment suivant ses efforts, alors qu’Aramis, toujours sous le coup de la longue course, soufflait bruyamment. Et puis vint se moment ou le Maître se retira lentement d’elle, encore assez en érection. Elle sentit une partie de son essence visqueuse couler hors d’elle lorsqu’il se retira complètement. Il s’essuya sur sa peau, la marquant de son odeur, avant de se remettre dans son pantalon tombée au niveau de la selle Il la redressa, peu après, la tirant contre lui, la caressant de son nez et de ses joues, amoureusement. Il faisait souvent cela, après usage de force excessive. Il lui avait fait mal. Elle avait toujours mal. Quelle sensation bizarre, la douleur et la jouissance en même temps qu’elle venait de vivre. Elle aurait mal pour un temps encore. Demain, les autres sauraient par sa démarche, sans grande surprise, la manière dont il l’avait utilisé. Il lui avait fait mal, mais elle était heureuse, repue, et son Maître était maintenant attentionné, lui murmurant des mots doux, lui chuchotait des promesses. Il avait aimé et l’instant d’un moment elle n’était plus esclave mais femme. Elle reprit les rennes que lui tendait le Marquis, et dirigea Aramis en direction du retour au château...