Hicham
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
hh,
hhh,
hagé,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
hsodo,
... pipes et les baisers, m’excitant autant pour les deux. Hicham me branlait aussi, sans complexe, pendant que je le pompais en lui gobant les couilles. C’était encore plus que le plus cher de mes désirs. Sentir mon sexe dans sa main. Moi, je me sentais entièrement possédé et prêt à lui obéir sans rien lui demander en échange. Avoir sa bite gonflée dans la bouche, sentir ses mains sur mes reins et mes fesses, son doigt s’enfoncer entre elles, lécher sa verge, pomper son gland, caresser tout son corps sans le moindre poil, c’était le summum, alors, quand en plus il me branlait, j’étais au 7ème ciel. Je le suçais, lui debout contre le mur, une jambe posée sur mon épaule, ou assis, moi agenouillé entre ses jambes, ou encore je m’allongeais sur le dos et lui au-dessus de moi baisant dans ma bouche comme dans le vagin d’une femme, ou également en position de 69, lui me branlant moi avalant sa bite. Toutes les positions étaient fabuleusement bandantes et me donnaient trop de plaisir. Puis au bout de deux ou trois jours, il m’a dit qu’il aimerait bien, comme Brahim. c’est à dire, il avait très envie de m’enculer. Et à sa façon de me dire ça, j’ai compris qu’il demandait à la fois ma permission et celle de Brahim. Pour ma part, il n’y avait rien à craindre, j’étais plus que d’accord et je sentais déjà au fond de mon cul les frémissements de sa queue et son corps enveloppé le mien pendant qu’il me posséderait complètement. Je voulais plus que tout être défoncé par sa bite vigoureusement ...
... et infatigable et si cela n’avait tenu qu’à moi je me serais offert tout de suite. Mais bien sûr, en plein milieu de l’après-midi et avec la mère de Brahim, deux étages plus bas, et pour Hicham, savoir que Brahim pouvait revenir d’un moment à l’autre, ça ne pouvait se faire. Je me suis tout de même calé contre lui, remuant mes fesses contre son sexe pour l’exciter au maximum et je lui ai demandé de rester dormir ce soir chez Brahim. Comme nous devions partir tous les trois le lendemain pour Agadir, c’était une occasion, et il est aller chez lui chercher ses affaires pour revenir le soir après le repas. Nous avons discuté tous les trois dans la chambre, à la lueur d’une bougie, allongés à même le sol, sur et sous les couvertures. Il n’y a pas de lit chez Brahim, j’ai pris les habitudes marocaines et je dors par terre, ce qui rend même nos ébats encore plus érotiques. Bien entendu, je m’étais couché au milieu, entre mes deux petits mecs et je les caressais sous les couvertures, tout ce qu’il y a de plus discret, tout en sachant qu’il n’y avait aucun doute dans leurs esprits sur les gestes que je destinais à l’un comme à l’autre. Pour moi, c’était très excitant de toucher leurs queues tendues, que je sentais se raidir par à-coup dans mes mains. Plus je les branlais, plus ils bandaient et plus j’avais envie de me livrer à leur désir grandissant. Je les excitais au maximum, l’air de rien tout en discutant et en fumant un peu d’herbe, et je sentais tout mon corps prêt à succomber. ...