1. Ma cousine est très dévouée


    Datte: 19/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... transparent, du pur jus de pucelle. Une odeur forte de sexe commence à dominer dans ce local exigu. Coquine, Sylvie me regarde en coin bander comme un mulet, en spectateur passif. Ma hampe est maintenant au maximum de son ascension et colle pratiquement à mon ventre, je savoure dans ma tête les amours lesbiens de ses deux jeunes filles. Ma bite est tellement congestionnée et réclame par son orgueilleuse érection muette qu’on s’occupe d’elle. Sylvie a si bien œuvré que Lisa se crispe, implorant que ça cesse, au bord de son tout premier plaisir orgasmique de femme. Son corps en sueur s'arque quand son sexe se vide comme sous le coup d’une décharge électrique. Des onomatopées s’échappent de ses lèvres. – Argh ! Argh !...Argh ! Argh ! Ouuuiii ! Arghaaah ! Nooonnn ! Argh !...Ooouhhh ! Un liquide doré, au parfum âpre, inonde la bouche de Sylvie qui retient Lisa au bord de l'épuisement... Sylvie se redresse et suggère à sa copine, présentant sa vulve complètement épilée. -Approche ! A toi maintenant de me rendre la pareille, broute-moi ! Lisa, une fois remise de ses émotions, s’agenouille devant l’autel de Sylvie, espérant être à la hauteur pour rendre à son initiatrice tout ce qu'elle vient de lui faire découvrir. - Viens encore plus près ! Sylvie pose une de ses mains sur sa chatte, écartant les grandes lèvres de ses doigts pour présenter l'intérieur son con déjà brillant des sécrétions intimes qui suintent de ses chairs. Son autre main s’est égarée et s’agrippe, comme si elle ...
    ... trouvait une bouée salvatrice, sur ma colonne de chair turgescente. - Tu sens comme ma chatte a envie de tes caresses ? Je suis chaude d’avoir tant respiré ton odeur intime... Lisa approche la tête et touche de la langue les replis foncés dont les veines bien dessinées irriguent la moule et le clitoris, prenant à pleine bouche les excroissances de chair. Sylvie décalotte son clitoris en mettant un doigt de chaque coté de la fine tige pour le montrer à Lisa. - Embrasse-le, tête-le ! Lisa a à peine touché de ses lèvres le bourgeon à vif que Sylvie se cabre et qu’elle étrangle instinctivement mon épée tendue, stoppant net sa masturbation... – Argh...Oooouhhmmmmh ! ! En quelques minutes, Sylvie ressent les prémices de l'orgasme de délivrance. L’issue est rapide. Sous les coups de langues répétés de la jeune femelle, elle se vide, évacuant son jus qu’elle fait découvrir à sa jeune partenaire en pressant la main sur sa tête. -Ooouuuiii ! Suce plus fort ! Ne t’arrête-pas, encore, encore ! Asphyxiée, le nez dans la moule, Lisa est inondée du suc de Sylvie dont toutes les vannes viennent de céder. – OUUUIII! ! ! Ouuuiii ! Encore ! Vas-y, encore ! Prend tout ! AAAAÏÏÏÏÏÏÏÏÏEERGHH ! Argh !... Puis elle se détend, libérant les cheveux empoignés. Les deux filles restent immobiles un instant avant que Sylvie ne tourne la tête vers moi. Elle comprend en voyant mon gland violacé qui n’arrête pas de suinter que je souffre le martyr à la vue du spectacle insoutenable qu’elles m’ont offert. -Il va ...