Donjons et Dragons - 5
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... son emprise mentale se renforcer, progressivement, jusqu’à l’explosion. Elle me noya cet orgasme fulgurant, qui dura plusieurs minutes. Si je perdais mon humanité, je gagnais ce pouvoir. Une fois remise de ses émotions, ma Maitresse se leva pour s’habiller. Elle avait toujours des tenues très chics et sensuelles, avec de petits décolletés et des bijoux. Pendant qu’elle se maquillait pour sortir, elle s’adressa à moi, toujours à genoux, en train de lécher le sol pour le laver des dommages collatéraux de mon devoir matinal. - Chère soumise, est-ce que tu pourrais retirer tous tes vêtements s’il te plait ? Je la regardais, interloquée, puis je m’exécutai. Pour ce que mon petit costume de soubrette cachait, après tout.. - Mh.. Parfait. Ça devrait suffire, dit-elle d’un ton satisfait. Essaye ça à présent. Elle jeta dans ma direction une tunique un peu sale qu’elle avait probablement soutirée à une servante. Je ne m’en formalisais pas et commença à l’enfiler. Et là, soudain, je ressenti comme un énorme picotement sur les parties de mon corps couvertes. Je la regardai, paniquée, retirant prestement le bout de tissu à l’origine de la douleur. La tunique restait dans ma main, et je compris qu’elle commencé à prendre feu. - Les objets sexuels ne s’habillent pas, ils restent nus, petite chienne. C’est dans l’ordre naturel des choses, tu comprends ? Ce que je comprenais maintenant, c’est qu’elle venait de me jeter à nouveau un sort qui m’interdisait de porter des vêtements ! Je devrais ...
... rester totalement nue pour le restant de mes jours ! Malgré la grande tension sexuelle de ces dernières heures, cette nouvelle m’attristait un peu, sans que je puisse comprendre pourquoi. Une larme coula sur mes joues, reflets de ma vie d’avant, de quand j’étais encore humaine. La sorcière remarqua ma détresse. Elle s’agenouilla face à moi, avec son maquillage, ses beaux habits, ses bijoux. Face à elle, je ressemblais effectivement à une trainée, dépossédée d’humanité et bonne à sucer n’importe quel organe sexuel à ma portée. - Ne sois pas triste. C’est ton destin. Tu es née pour servir. Les habits, ce n’est pas pour toi. Elle sécha ma larme d’un revers de main. - Tu dois rendre fière ta maitresse. Exposer ton corps, le mettre en valeur. Ma cyprine te rendra plus belle encore de jours en jours. Et plus obéissante. Et tu seras heureuse de me servir. Elle se tut quelques instants avant de reprendre. - J’apprécie que nous ayons pu mettre ça au clair avant que tu n’ait même plus conscience de toi-même. Savoir que j’étais vouée à devenir une coquille vide bonne à servir sexuellement sans éprouver d’autre forme de besoin que d’obéir était réconfortant, dans ma position. Ces dernières onces d’humanité me pesaient. Obéissante, je retournais dans ma cage. J’attendis ainsi plusieurs heures, ayant l’occasion de m’adonner plusieurs fois à une masturbation rendue d’autant plus facile que je n’avais plus besoin de passer de main sous ma culotte pour le faire. Ma Maitresse revint plus tard ...