1. Mon patron quand je travaillais dans d'habillement (1)


    Datte: 26/01/2020, Catégories: Transexuels

    Salut c’est votre folle de lycra. Voilà bien longtemps je travaillais dans une grande enseigne de l’habillement, d’origine anglaise faite de 2 lettres. Il y avait un rayon homme femme enfant, on trouve encore cette enseigne dans les grandes galeries commerciales dignes de ce nom. J’avais une petite perversion secrète qui était de porter des sous-vêtements féminins, toute l’année et je m’habillais en femme à la maison. Ma femme était très compréhensive et complice à ce sujet à tel point que nous allions souvent acheter nos vêtements ensemble. Ma chérie adorait les dessous que mon enseigne vendait, il y avait un excellent rapport qualité-prix. Comme par bonheur j’avais bénéficié d’une mutation interne, à savoir; gérer tout ce qui était dessous féminins en réserve, je m’occupais de la gestion des stocks de ces produits. Bref je travaillais au paradis. Régulièrement pendant la journée je veillais à vérifier que les produits que je mettais en rayon est-il toujours aussi doux toujours aussi moulant et toujours aussi excitant à mes yeux. Régulièrement Claude, le directeur se moquait de moi, me disant que je prenais mon travail très à cœur; quand il me voyait avec mon côté fétichiste. C’est vrai qu’à chaque fois qu’il me surprenait, j’étais gêné car c’est vrai que j’avais une façon de tester les vêtements au niveau du toucher; qui avait tout de l’obsédé. Je pense qu’il avait compris que j’étais amoureux des dessous féminins car à chaque fois qu’il partait, il me donnait une ...
    ... petite claque sur les fesses, on ne peut plus complice. Disons que quelque part, c’était notre petit secret; disons quand même que depuis qu’il avait découvert mon péché mignon, il ne me regardait plus de la même façon. Un jour lors de l’inventaire alors que j’étais en jean t-shirt, j’ai été obligé de me mettre à quatre pattes sous un meuble; pour récupérer des dessous qui étaient tombés derrière. Claude a pu constater à son aise que je ne portais pas de slip mais plutôt un tanga avec guêpière. Nous n’étions que tous les deux dans les environs et il ne s’est pas privé de me dire que en plus de prendre soin des vêtements que je vendais, je les essayais; avec un ton ironique mais toujours complice. Ce jour-là il a quand même pu constater les vêtements que je portais était vendu en magasin; du coup elle m’a convoqué dans son bureau, pour avoir de plus amples détails. Arrivé dans son bureau, il m’a demandé si c’était du vol ou si je les achetais; je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun problème, que je les achetais avec ma femme. Il s’est approché de moi, est venu me caresser et je peux vous garantir qu’à travers mes dessous satinés avec du lycra cela m’a fait un effet monstrueux. Pendant qu’il me caressait et qu’il était en train de me donner une énorme érection, il m’a demandé s’il était la seule à savoir que j’étais une grosse cochonne sous mes vêtements officiels. Je lui ai répondu qu’il n’y avait que ma femme et lui désormais qui était au courant de ce secret. Claude faisait ...
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